| A + A -
Connexion     
 + Créer un compte ?
Rejoignez notre cercle de poetes et d'auteurs anonymes. Lisez ou publiez en ligne
Accueil >> xnews >> Rien ! - Poèmes - Textes
Poèmes : Rien !
Publié par EXEM le 08-03-2014 02:19:50 ( 1027 lectures ) Articles du même auteur



Les lucioles dans la nuit volent
Pour attirer leur mâle aimé.
Les sentiments en moi, s’étiolent,
Pourquoi ai-je si froid l’été ?

Je me couvre de mon manteau
Tissé dans le chant des cigales
Je m’endors une fois de trop
À l’hôtel de la vie que dalle.

Mes yeux battent en se fermant,
Et se brûlent à la lumière
De mon rêve ce vieux ferment
De mes longues heures dernières.

Au matin le soleil est chaud
Et que ses rayons sont beaux !
Ah ! Mon âme est de glace froide
Et mes membres de pierre roide.

Article précédent Article suivant Imprimer Transmettre cet article à un(e) ami(e) Générer un PDF à partir de cet article
Les commentaires appartiennent à leurs auteurs. Nous ne sommes pas responsables de leur contenu.
Auteur Commentaire en débat
Loriane
Posté le: 11-03-2014 15:51  Mis à jour: 11-03-2014 15:51
Administrateur
Inscrit le: 14-12-2011
De: Montpellier
Contributions: 9499
 Re: Rien !
Citation :
Je me couvre de mon manteau
Tissé dans le chant des cigales

Quelle belle image
Belle lecture
Merci
Mes préférences



Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

Connexion
Identifiant :

Mot de passe :

Se souvenir de moi



Mot de passe perdu ?

Inscrivez-vous !
Partenaires
Sont en ligne
56 Personne(s) en ligne (18 Personne(s) connectée(s) sur Textes)

Utilisateur(s): 0
Invité(s): 56

Plus ...