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Accueil >> xnews >> La peur - Poèmes - Textes
Poèmes : La peur
Publié par randa le 20-03-2014 17:30:00 ( 1248 lectures ) Articles du même auteur



La peur de quoi si ce n’est de ne pas être aimé
La peur de qui si ce n’est celui qu’on a choisi
Un choix spontané pour durer une éternité
Aimer et être aimé
Seuls ces mots me sont familiers
Apprécier et chouchouter
Rien de mieux ne pourrait m’arriver
Priant le bon Dieu pour que cela soit vrai
Dans son sens et dans sa formalité
Dans l’inconscience comme dans la réalité
Dans un tournant même d’obscurité
Donner et redonner sans se sentir rabaissé
Regarder l’autre comme on aimerait être regardé
Sans jugement ni culpabilité
Pour que l’amour règne sans qu’en on soit des prisonniers

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Les commentaires appartiennent à leurs auteurs. Nous ne sommes pas responsables de leur contenu.
Auteur Commentaire en débat
maurizioB
Posté le: 20-03-2014 17:50  Mis à jour: 20-03-2014 17:50
Plume d'Argent
Inscrit le: 02-03-2014
De:
Contributions: 426
 Re: La peur
Braavo
Haaaa l'amour , éternelle écriture, inépuisable
randa
Posté le: 28-06-2015 16:56  Mis à jour: 28-06-2015 16:56
Aspirant
Inscrit le: 03-03-2014
De: Sousse
Contributions: 30
 Re: La peur
merci :)
oui l'amour est une source d'inspiration inépuisable, j’écris spontanément sans trop réfléchir, c'est une sorte de miroir
Mes préférences



Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

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