| A + A -
Connexion     
 + Créer un compte ?
Rejoignez notre cercle de poetes et d'auteurs anonymes. Lisez ou publiez en ligne
Accueil >> xnews >> Hilde - Poèmes confirmés - Textes
Poèmes confirmés : Hilde
Publié par EXEM le 06-06-2014 04:24:43 ( 861 lectures ) Articles du même auteur



Hilde, la jeune bretonne,
Sur ta couche, dévêtue,
Que fais-tu de la vertu
Quand au vice tu t'adonnes?

Les hommes sont au combat,
Sous la jactance teutonne.
Toi, dans tes draps de cretonne,
Tu laisses filer tes bas.

Auprès de ton corps, repose,
Ronronnant comme l'encens
Dans l'encensoir de tes sens,
Une déesse saphose.

Le voile de son palais,
Tient encor sous lui cachées,
Les blanches perles de lait,
De tes nymphes la rosée.




Article précédent Article suivant Imprimer Transmettre cet article à un(e) ami(e) Générer un PDF à partir de cet article
Les commentaires appartiennent à leurs auteurs. Nous ne sommes pas responsables de leur contenu.
Auteur Commentaire en débat
Marco
Posté le: 06-06-2014 07:41  Mis à jour: 06-06-2014 07:41
Plume d'Or
Inscrit le: 17-05-2014
De: 24
Contributions: 725
 Re: Hilde
Plus d'homme, place à l'amour saphique !
Peut-on vouloir à Hilde "la jeune bretonne".

"Le voile de son palais,
Tient encor sous lui cachées,
Les blanches perles de lait,
De tes nymphes la rosée."


Excellent ! EXEM j'adore !

Marco
Mes préférences



Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

Connexion
Identifiant :

Mot de passe :

Se souvenir de moi



Mot de passe perdu ?

Inscrivez-vous !
Partenaires
Sont en ligne
51 Personne(s) en ligne (14 Personne(s) connectée(s) sur Textes)

Utilisateur(s): 0
Invité(s): 51

Plus ...