Au matin, comme au soir Que le jour soit blanc ou noir Tu es comme un soleil A nulle autre pareille .
Je tourne autour de toi Et jamais, ne te détourne de moi Tu dévores mes yeux Et ma volonté cède à ce feu .
D'autres te filent le train Qui contemplent ton arrière-train Mais jamais te posséderont A te faire rugir, ils rêveront .
Oh ! Mercedes, si belle Je me sens homme quand je suis en toi Rien ne résiste à mes assauts guerriers Jamais dernier et souvent premier .
Ce poème pourrait être une fable Qui parle de possession jusqu'à déraison Car jamais homme ne possédera femme Il croira sans doute posséder une voiture Mais posséder, c'est aussi manquer .
A tous ceux qui rêvent de posséder une belle voiture Mieux vaut aimer et être aimé d'une femme Et n'avoir rien .
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