Et si la vie avait la rondeur de tes seins Qui jamais ne sont bien loin de mes mains Et si le temps, au fond de tes yeux, s'effilait Dans des matins au parfum de glycine Alors l'hiver, du printemps, serait les prémisses Janvier deviendrait mai Et nous ferions ce qu'il nous plait Nos deux corps enlacés,s'épanouiraient.
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