Un Zoran que je ne connaissais pas
Révolte et cri de colère
Linceul noir touchant les cœurs
qui s’évanouissent sans honte.
Je te déteste avant mon sommeil,
croyant en ton pouvoir
de m’entrainer vers la mort
Et toujours cette poésie.
Résipiscence : merci pour ce mot que j'aime et que l'on ne voit pas souvent.
je suis très contente Zoran de te retrouver.
Merci