Deux mille quatorze, la dernière fois que je l’ai vu
De bien des peurs et des tristesses elle était pourvue,
Je la voyais à l’ombre du clair de lune,
Incapable d’illuminer, d’éclairer ma fortune.

Je te laisse, vide de ton sens, dans un autre monde,
Soucieux encore, mais t’oubliant à la seconde,
Oublieux des luttes, des combats tant désespérées,
Ouvert aux mystères d’une vraie espérance ancrée.

Deux mille quinze, ne doit-il être qu’un nouvel encore,
Non ! Qu’il ouvre son cœur à des bons vœux sonores.
Nous allons te parcourir autrement sur une voie fleurie,
Et chaque matin sera chantant et sans tracasserie.

Ami(e), que la nouvelle année vous enchante et vous sourit,
Que toutes vos souffrances s’effacent et s’oublient,
Que les espérances et les nouveaux projets les remplacent,
Que chaque matin, l’âme ensoleillée, vous vous leviez joyeux,
Avec une fée, un tapis volant, un enchantement dans les yeux.
Que de belles amours de miel éclairent vos jours sans ombrage,
Accompagnées de belles relations sucrées sans orage.
Vivez, osez, touchez, savourez, chantez,
Enthousiasmez vous, respirez votre vie à plein nez.

Allez, serais-je de la nouvelle année le portier,
Je cris donc avec ardeur, le cœur plein de désirs : premier janvier !