| A + A -
Connexion     
 + Créer un compte ?
Rejoignez notre cercle de poetes et d'auteurs anonymes. Lisez ou publiez en ligne
Afficher/Cacher la colonne
Accueil >> xnews >> Sans poète et cent poètes - Poèmes confirmés - Textes
Poèmes confirmés : Sans poète et cent poètes
Publié par mafalda le 17-01-2015 15:00:00 ( 1063 lectures ) Articles du même auteur



Au moins pour te rendre hommage,Bacchus de tous nos êtres
De Porto à Saint Florent, à Cargèse
Je n'oublie pas ta gentillesse, ton humour,ta sagesse
Tu sais que tu me blesses : de ton existence qui cesse
Capable de me faire rire et pleurer
Mon recueil t'est dédié, à toi et à l'orée
Un jour sur une tombe
Je poserai un oeillet
Celui du poète
Tu as été et peux encore être
Bonne chair tu as mangé,raison tu as eu
A ta santé Bacchus
Et que l'écriture continue...

Article précédent Article suivant Imprimer Transmettre cet article à un(e) ami(e) Générer un PDF à partir de cet article
Les commentaires appartiennent à leurs auteurs. Nous ne sommes pas responsables de leur contenu.
Auteur Commentaire en débat
couscous
Posté le: 18-01-2015 16:52  Mis à jour: 18-01-2015 16:52
Modérateur
Inscrit le: 21-03-2013
De: Belgique
Contributions: 3218
 Re: Sans poète et cent poètes
Très bel hommage Mafalda !

Nous sommes tous peinés de son départ.

Bises

Couscous
mafalda
Posté le: 19-01-2015 14:10  Mis à jour: 19-01-2015 14:10
Plume d'Or
Inscrit le: 02-02-2013
De:
Contributions: 836
 Re: Sans poète et cent poètes
Merci Couscous,
Toutes mes amitiés,
Fabienne.
Loriane
Posté le: 19-01-2015 22:12  Mis à jour: 19-01-2015 22:12
Administrateur
Inscrit le: 14-12-2011
De: Montpellier
Contributions: 9499
 Re: Sans poète et cent poètes
Merci Mafalda tes mots sont doux et beaux, tes mots sont tendres comme il l'était.

Citation :
Tu sais que tu me blesses : de ton existence qui cesse
Capable de me faire rire et pleurer


C'est si juste et bien dit.

Quelle jolie idée celle de l'oeillet, oui l'oeillet du poète.
Merci
Mes préférences



Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

Connexion
Identifiant :

Mot de passe :

Se souvenir de moi



Mot de passe perdu ?

Inscrivez-vous !
Partenaires
Sont en ligne
42 Personne(s) en ligne (12 Personne(s) connectée(s) sur Textes)

Utilisateur(s): 0
Invité(s): 42

Plus ...