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Poèmes : Oran
Publié par michel93 le 31-01-2015 15:19:34 ( 1271 lectures ) Articles du même auteur



, Oran terre de mes ancêtres.
Terre de mon père.
Jamais je ne pourrai me passer de toi.
Lorsque je songe à toi, je vois mon père.
Je l’entends, je le sens, je te sens, Ô, Oran
Oran, le soleil t’illumine de tous ses feux.
L’avion m’a emporté me laissant percevoir,
Ton désert à perte de vue … Mes yeux se sont voilés de larmes.
Lorsque je suis rentré, j’étais en peine…
Mais cette peine, s’est transformée en haine.
Oh pas cette haine agressive, la haine de ne pas pouvoir
Ô, Oran, t’admirer encore, m’enflammer toujours, lorsque je pense à toi.

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Auteur Commentaire en débat
Anonymes
Posté le: 31-01-2015 15:58  Mis à jour: 31-01-2015 15:58
 Re: Oran
Bonjour Michel,

Ton poème est magnifique.
Il a une résonnance toute particulière en moi. Je suis pied noir et je suis en Alger la Blanche. Alors, j'éprouve de l'émotion à la lecture de ton poème.
Alger me manque. J'aimerais tant pouvoir revoir la ville qui m'a vu naître avant de quitter ce bas monde.

Merci.
Bien à toi.

Jacques
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Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

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