J'erre le soir dans un labyrinthe de deuil et de désespoir.Lorsque le jour percera dans l'amertume,Je réapprendrai l'ivresse triste des orgies,et mes doigts connaîtront à nouveau le frôlement sur la chair des femmes.Alors,dans la lumière d'un orage infini,Je pleurerai sur toi.