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Poèmes confirmés : Divine Séduction
Publié par dominic913 le 04-02-2015 13:00:00 ( 938 lectures ) Articles du même auteur
Poèmes confirmés



Il y a des femmes en ce monde qui sont faites pour être adorées. Empreintes d'une grâce et d'une sensualité quasi-divines, leur aura se propage et inonde les cœurs d'une mélancolie méphitique. Leur séduction est un poison auquel nul ne peux se soustraire. Leur beauté fascinante est l'incarnation des délices les plus sidérants ; mais également, les plus terrifiants, qui existent ici-bas. Leur luminescence irradie au-delà de toute proportion ; mais elle fait saigner l'âme et le cœur de hommes les plus puissants. Celle-ci les rend fous de désespoir, avant de les accompagner dans les bras d'une faucheuse insolente.
Car elles sont leurs compagnes aimantes. Elles se régalent de voir plier sous leur joug des armées d'hommes indolents. Perdus, anéantis, humiliés, usés, par les flots de sentiments dont ils sont les otages, ils sont incapables de se dérober aux mille émotions qu'elles propagent autour d'elles. Inconscientes des ardeurs et des bouleversements qu'elles provoquent, elles se rient de les voir implorer un tendre regard dans leur direction. Elles se moquent des passions et des désirs incendiaires qu'elles suscitent évidemment. Impératrices de voluptueuses inclinations, fantasmes vivants, d'hommes en plein désarroi, elles se font craindre d'eux. Elles les torturent physiquement ou moralement, puisque les hurlements de ces éternels suppliciés se font entendre à des dizaines de kilomètres à la ronde. Et lorsque ces individus prisonniers de leurs désirs volcaniques à leur égard ne sont plus capables de résister aux élans auxquels sont enchainés, c'est la démence et les fléaux de la décadence qui les entrainent vers l'Abime immonde.
Que Dieu me pardonne, mais ces femmes, je les désire incontestablement. Je rêve de les avoir dans mon lit ; de caresser, d'explorer leur corps jusque dans leurs replis les plus intimes et les plus voluptueux. Ces endroits secrets et magnifiques qui ouvrent les portes d'un Paradis interdit. Car, y être invité, c'est comme être projeté dans un univers duquel on ne ressort pas indemne. Après y avoir cheminé, après y avoir fait de tendres et vigoureux vas et viens jusqu’à l'explosion finale, après s’être perdu au fond de ses yeux étoilés, c'est définitivement métamorphosé qu'on le quitte. Alors oui, moi aussi, je souhaiterai vivre cette expérience unique, ineffaçable, indescriptible, saisissante, mais aussi dévastatrice qu'incroyable ou miraculeuse. Moi aussi, j'aimerai juger par moi même de la portée de ce prodige sans équivalent que seule une de ces femmes de cette qualité est susceptible d'immortaliser...

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Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
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