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Poèmes confirmés : L'île San Giulio
Publié par Istenozot le 28-02-2015 11:30:00 ( 823 lectures ) Articles du même auteur



La douceur du lac orne de mille merveilles
L’Ile de San Guilio où l’honneur divin sommeille.
Le feu du beau, de l’esprit couve tant en elle
A la fleurir toujours de grâces immortelles.

Tu émerges de l’onde telle une Aphrodite
Qui enlumine les cieux d’une beauté bien dite.
Tu es petite et pourtant si grande encore
Par ta terre, tes fleurs que toutes et tous honorent.

Que la nuit se couche ou que le beau jour se lève
Tes senteurs illuminent mon âme sans trêve.
L’amour de tes si beaux soleils me fait errer
En des lieux magiques que je n’ose espérer.

Tes maisons, de vrais palais aux couleurs vermeilles
Chantent l’art, la nature, les dieux à nos oreilles.
Elles sont unes au service du divin qui veille
Au sommet, en un monastère, sans pareil.

Tu as vu naître Guillaume de Volpiano,
Entends tu de Saint Bénigne les sopranos?
Dijon lui doit une si belle cathédrale
Où la pierre chante ses amours magistrales.

Jacques Hosotte

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Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

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