Amies lectrices, amis lecteurs, je vous invite à prendre ce texte au degré que vous voulez mais sachez que le degré de l’auteur n’est pas le premier ! Il est en fait de tous les degrés que vous voulez !

Quand je ne crois plus en un absolu, je crois en l’homme.
Quand je ne crois plus en l’homme, je crois en la nature.
Quand je ne crois plus en la nature, je crois dans le souvenir des mes parents et de mes aïeux. Il ne faut jamais oublier ses aïeux, car on en apprend de belles ! Et dans ce domaine, croyez-moi, je peux vous écrire un roman !
Quand je ne crois plus dans le souvenir de mes parents, et de mes aïeux, bien sûr, je crois en moi.
Quand je ne crois plus en moi, je crois en un absolu.

Quel cercle infernal me direz-vous ? Vous pourriez penser que je boucle sur l’absolu. En fait, pas du tout, je boucle sur moi.
Entre croire en tout, et croire en rien, je préfère croire en tout, parce que, mine de rien, au lieu de croire en rien et douter de tout, je préfère croire en tout et douter de rien.
C’est moins stressant ! Et à mon âge, il faut ménager sa monture !
Non mais !