Étant de nature modeste, je peux concevoir que je puisse passer à côté d'une image, d'une métaphore. Bien que je lise toujours avec attention les textes publiés et que je sois sensible à la parabole poétique, j'y suis très accessible et donc je suis capable d'accéder au second degré et à l'implicite, surtout en poésie.
Mais il est vrai que tu ne me connais pas encore.
Quand au sens premier de " divertissement " évidemment il m'est bien connu. Ce débat est intéressant mais cette lecture :
Citation :
Je hais les réveillons du jour de l’an et les clubs échangistes
Les festivals de Cannes et les bals populaires
Il n’y a rien de pire qu’une fête qui est prévue
C’est à la joie ce que le nugget de poulet est à la gastronomie
Personne, au fond, ne voudrait d’un bonheur
Qui serait livré dans un seau en carton
Et pourtant tout le monde a les doigts gras.
Est claire, sans ambiguïté, ni sous entendu et surtout condamne sans ambages, c'est à cela que je répondais.
Ma vision de la fête est plus nuancée, plus positive et surtout moins idéaliste.
La fête "fast food", pornographique, comme le binge drinking, sévissent soit, mais ces fêtes ne sont qu'une sorte de fête ( phénomène générationnel) cependant elles ne sont pas "La fête " et n'ont rien de bien joyeux.
Je sais que lorsque l'on écrit on peut forcer le trait mais parler ainsi de "la fête " est un amalgame.
C'est mon avis.
Merci pour l'échange.