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Accueil >> xnews >> Amour improbable - Poèmes - Textes
Poèmes : Amour improbable
Publié par Negeu le 09-07-2015 19:50:00 ( 826 lectures ) Articles du même auteur



Avrais dire jsui un poète j'aime chanter at tu tête mais pour mevader je cri pour mevader j'écris pour mevader je fuis , j'aimerai te déclarer ma flamme mais j'ai peur de me brûler dans mon coeur tu es tu contrôle mes pensées exclave de mon coeur toute les nuit j'en rie toute les nuit j'en pleure faut pas ce perdre dans les apparence car mon amour et pure et dernier ce. Peur de pierre il y a un amour de fer je ne suis pas un charlatan je suis juste un marchant à qui sont domaine c'est l'amour je revant c'est poesi en espérant faire parti de ta vie




Désoler pour les faute

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Auteur Commentaire en débat
Loriane
Posté le: 09-07-2015 21:42  Mis à jour: 09-07-2015 21:48
Administrateur
Inscrit le: 14-12-2011
De: Montpellier
Contributions: 9499
 Re: Amour improbable
Quelle horreur !
de la même veine que le premier, mais celui ci je ne le corrige pas, trop "chiand" comme le dit notre artiste.
Je laisse ce "texte" pour me permettre de signaler que ce genre de choses ne sera plus toléré sur L'ORée.
Les textes publiés doivent être écrit en un français correct ou seront supprimés.
emma
Posté le: 12-07-2015 11:24  Mis à jour: 12-07-2015 11:24
Modérateur
Inscrit le: 02-02-2012
De: Paris
Contributions: 1494
 Re: Amour improbable
Hum...
Je crois que l'ami Negeu vient de découvrir l'écriture et la poésie. Lui reste encore à appréhender l'orthographe, la syntaxe, la mise en page, le traitement de texte...

Parce que, pour l'instant, c'est plutôt maltraitance de texte...

Comme je suis une personne persévérante, voici une version corrigée. On y découvre un poème charmant. Un bon sens du rythme. Un potentiel peut-être... Bref un gros gâchis de grosse paresse et de fierté mal placée...
ô siècle d'aboulie, voici tes enfants...

"
A vrai dire je suis un poète
J'aime chanter à tue tête
Mais pour m'évader je cris
Pour m'évader j'écris
Pour m'évader je fuis,

J'aimerais te déclarer ma flamme
Mais j'ai peur de me brûler
Dans mon cœur tu es
Tu contrôles mes pensées
Esclave de mon cœur
Toutes les nuits j'en ris
Toutes les nuit j'en pleure

Faut pas se perdre
Dans les apparence
Car mon amour et pure
Et dernier cette
Peur de pierre
Il y a un amour de fer

Je ne suis pas un charlatan
Je suis juste un marchand
Dont le domaine est l'amour
Je suis un rêvant de poésie
Espérant faire partie de ta vie
"
Mes préférences



Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

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