( Plutôt que poème confirmé, il s'agirait de prose poétique.)
Il y a un village perché sur son rocher, une cloche pendue à son clocher.
C'est un matin d'août, qui se voudrait serein, un été qui lentement, va sur sa fin
Et que ce soit vacances et que ce soit Provence, il y a ce silence, juste le souffle du vent,
Des mots, que rien ne retient, à peine là et déjà loin et que ce soit rentrée et que ce soit Comté,
Il y a ce silence, juste des mots qui s'absentent et une question avant que ne souffle le vent,
Pourquoi écrire ?
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