Voguer de mal en pis, les ailes embourbées De fleuves en océans, voilure des yeux crevés
Tours et usines tapies, ces éclats ombragés Dans un soliloque apaisant, paradigmes écervelés
Chœurs sans peur nourris, nos pendules détraquées Par un dièse sanglant, entropie des jours esquissés
Souiller d'aphones envies, les sens émoussés D'astérisques encore tranchants , rayures des râles rouillés.
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