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Accueil >> xnews >> Le dicton menteur........... ( Défi de la semaine) - Poèmes confirmés - Textes
Poèmes confirmés : Le dicton menteur........... ( Défi de la semaine)
Publié par Titi le 24-09-2015 15:14:33 ( 815 lectures ) Articles du même auteur



Thème du défi de la semaine:"En amour comme en cuisine, ce qui est vite fait est mal fait... ‘’

A l’instant où l’intérêt pour la cuisine, porté par de nombreuses émissions culinaires qui envahissent nos écrans, est de nouveau mis en exergue et alors que l’amour est une des composantes fondamentales des poètes que vous êtes, livrez nous votre regard, vos remarques et qui sait……. vos expériences en la matière
.



Dans un tout premier temps au sortir de l’école
J’avais choisi, pourquoi ? de faire cuisinier ??
Ayant certainement le gout des casseroles,
Que j’ai, depuis longtemps, accroché au fessier!!

Je fus d’abord cuistot, Chez Monsieur Cannibale,
Qui me dit : chef ce soir, je veux des fruits de mer,
Allez donc me pécher, demande pas banale,
Quelques hommes grenouilles, dont un pour le dessert !!

Je partis très bientôt de ce bizarre endroit,
Pour faire le serveur, mais au premier client
Qui me dit :- ‘’servez vous des nouilles, ici bas’’
Je répondis : ‘’ on sert tout l’monde, évidement’’.

Après cette expérience, mauvaise, j’en conviens,
Il me fallut admettre que je n’étais pas fait,
Pour faire le serveur, et là qu’intervient,
L’épisode tragique que je vais vous conter.

Dans un restaurant chic, ou j’allais déposer
Ma demande d’emploi, une femm’ me manda,
Charmante au demeurant, aux appâts bien posés,
Qui était la patronne, et ainsi s’exprima :

Mon époux, chef cuistot, recherche un cuisinier,
Travailleur et ardent, et en capacité,
De suppléer le chef, travail routinier,
Quand celui-ci, âgé, est un peu éreinté.

C’était ma bonne fée, qui m’avait, là, guidé,
Vers cette belle adresse, restaurant 3 étoiles,
Ou j’allais, j’espérais, pouvoir valider
Mon acquis et mes dons ; enfin toucher le graal !

Je ne fus pas déçu, au fil des services,
Je démontrai combien, j’étais à la hauteur,
Le chef me révélait ses astuces et les vices,
Que tout bon maître queux, doit connaitre par cœur.

En dehors du boulot, il me faut l’avouer
J’avais aussi repris l’activité du chef,
Auprès de son épouse, avec qui je jouais,
A la bête a deux dos, et c’était tout bénef

Le patron l’apprenant, ne fut pas arrangeant
J’avais pourtant rempli la mission, convenue
J’avais été ardent, tout en prenant mon temps,
Quand à mon savoir faire, Madame l’eut reconnu……

Ne croyez, surtout pas, à l’adage du jour,
Qui prétend qu’il faudrait, toujours, prendre son temps,
En cuisine d’abord et aussi en amour,
Car si cela est vrai, ce n’est pas gratifiant ……….

Toute ressemblance avec des faits ayant existés serait, bien évidement, fortuites.........!!!

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Les commentaires appartiennent à leurs auteurs. Nous ne sommes pas responsables de leur contenu.

Auteur Commentaire en débat
arielleffe
Posté le: 24-09-2015 20:10  Mis à jour: 24-09-2015 20:10
Plume d'Or
Inscrit le: 06-08-2013
De: Le Havre
Contributions: 805
 Re: Le dicton menteur........... ( Défi de la semaine)
Toujours aussi coquin!
Mes préférences



Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

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