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Nouvelles : Une nuit d'horreur
Publié par toto le 12-11-2015 19:38:10 ( 946 lectures ) Articles du même auteur



Une nuit d'horreur

Ce jour là, je marchais au bord de la mer avec un ami. La météo était plutôt moyenne. Des nuages gris recouvraient le ciel et il commençait à se faire tard. Mon ami me dit alors :
« Tu vois là-bas, sur cette petite île, habitent mes parents. »
« Et si nous allions les voir » lui répondis-je.
- Si tu veux mais la marée va bientôt monter.
- T'inquiète, lui dis-je.

Je descendis les escaliers menant à la plage et me mis a aller vers le large.
Au bout d'une demi heure, nous étions presque arrivés à l’île quand nous vîmes alors la marée monter au galop. Nous nous mimes alors à courir vers les petites falaises de l’île. Je fus alors pris dans la vase et la marée me rattrapa. Mon ami me tira alors et nous pûmes nous enfuir de là.
L'eau me trempait jusqu'à la taille et nous avancions péniblement. Nous arrivâmes finalement au bord des falaises. Nous vîmes alors un groupe d'enfant et une jeune femme se protéger des eaux montantes. Je les rejoignais et tous ensemble, nous avions avancés vers l’île.

Arrivés sur les rochers, nous nous étions assis et avions regardé la mer. Je me retournai alors et vis une maison dans la pierre à l'écart de la partie de l'île principal.
- C'est celle-là la maison de tes parents ? Lui dis-je.
- Oui. Enfin, ça devait être…
L'habitat était très laid. La pierre des murs était mal taillé, les portes était rongées de partout et les fenêtres n'étaient n plus.
- Charmant cette maison… dis-je à « ».
- Je ne sais pas se qui s'est passé, mais la maison de mes parents n'était pas pareil avant…
Nous avions tous avancez sur l’île. La nuit tombait et nous n'y voyions plus rien. Nous nous étions réfugié en haut de l’île, sur une minuscule place. Il y avait une petite église et nous avions entré. J'étais monté en haut pour avoir une vue d'ensemble sur les lieux. La mer était plutôt agitée ce soir là. Je redescendis alors et me blottis comme les autres dans un coin.

Dans la nuit, ne trouvant pas le sommeil, je décidai de sortir un peu. La mer s'était calmée, mais le brouillard s'était levé.
Je vis alors une ombre approcher de la place. Je regardais attentivement… il avait, je ne sais pour quel raison, une seringue était planté dans sa tête. Mais il ressemblait plus à une sorte de zombie qu'à un humain.
Je vis tout les autres me suivre jusque dehors. L'un des enfants s'avança vers la personne. Le « zombies » tira une seringue de sa poche et le planta alors dans la tête de la petite fille. Tous le monde cria et se dispersa dans le village. Je restai un cour instant et vit la fillette se mettre a poursuivre tous le monde comme l'autre. Je me mis alors^à courir comme tous les autres dans une direction. L'homme me suivit alors. Je courais, courais, courais… pris à gauche du croisement, une route qui menaient à une petite plage. Mais d'autres personnes zombifié sortirent de la rue et je dus faire demi-tour. La rue de l'église était bloqué, il nous restait donc un chemin qui menait au rocher de la côte. Je courais à toute vitesse avec les autres qui m'avaient rejoins.
Arrivé en bas, nous vîmes que la mer s'agitait de nouveau.
Les zombies nous suivaient, lentement mais toujours. Je vis une maison la porte ouverte. Nous nous dirigeâmes vers celle-ci et nous fermions la porte. Je pris un balai que j'avais trouvé dans un coin et bloqua la poignée. Les personnes dehors tapaient toujours plus fort sur ce qui les empêchait de passer. Avec les autres, nous cherchions alors un moyen de sortir de cette île. Je vis alors une chose recouverte d'une bâche. Je l'enlevai et découvris une petit bateau caché en dessous. Un livre était posé dessus. Je me mis à le lire :

18 août 2005

Si vous lisez ces lignes, c'est que je suis soit partis d'ici ou soit je suis mort. Ces lignes vous permettrons peut-être de vous sortir de l'île. Mais tout d'abord, je vais vous expliquer ce qui se passe ici. Un jour, il y a 5 ans, un homme était très malade et alla voir le médecin de l'île. Il lui fit un piqûre mais la malade finit par mourir. Les habitants l'enterrèrent mais une semaine plus tard, pendant la nuit quelqu'un le vit dans une rue. Il était en train de voler des seringues qui était rempli de la chose qui avait tenté de le garder en vie. Le village fût alors décimé par le nombres de mort-vivant qui ne cessé de s’accroître. Je suis sûrement le dernier survivant et je vous conseille de vite partir. Le bateau que vous venez de trouver est juste devant une voiture qui a la puissance suffisante pour le pousser. J’espère que vous allez vous en sortir.

Henri
Je venais de trouver la solution ! Je demanda alors à tous le monde de se mettre dans la petit bateau et d'attendre. J'entendis alors la porte claquer. Elle allait bientôt céder. Je monta dans la voiture et trouva les clés déjà en place. J’allumai le moteur et le navire avança. Les portes du garage cédèrent au bateau et il se retrouva en mer. Au même moment, les personnes nous poursuivant réussirent à ouvrir la porte et continuèrent à nous suivre. Je sortis le plus vite possible de là et je montai dans le navire. J'allai dans la cabine et alluma le moteur et le bateau avança. Je vis alors un homme s'accrocher à l'arrière mais la puissance du bateau le fit tomber et nous nous éloignions de la côte. Nous étions sauvés. Je regardais alors l'île qui s'éloignait au loin. Plus jamais nous ni retournerions. Je regardas ensuite mon ami qui était le plus inquiet de nous tous. Qu'était devenu ses parents ? Ballotté par les vagues, nous finîmes par arriver de la où nous étions tous parti...

toto

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Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

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