Voici le début du livre que j'écris en ce moment. C'est histoire d'avoir votre avis

Chapitre premier
Une flèche sort de l’ombre


Un cavalier sortit des arbres d’une immense forêt. Une grande cape et une capuche noire recouvrait l’homme et son visage. Il avait un grand arc dans son dos et une flèche…. une seule, mais spécial, une des dix seules aux mondes. Pour conclure, c’était un archer noir. Et si un archer noir sort de l’ombre, cela veut dire que l’âme noire est prête à reconquérir le monde. Mais le cavalier n’était pas seul. Les neuf autres cherchait eux aussi une proie pour redonner une forme à l’âme noire. Mais où était – elle ? Allait-elle bientôt sortir des ténèbres ? De toute manière, ses archers n’apportaient que des mauvaises nouvelles.
L’un des cavaliers dit à l’autre :
A ut évuort nu egalliv?
Iuo ! Suon y snorevuot nu ior !
Neib. Rtnom iom el nimehc.
Et le deux archers disparurent dans les chênes de la forêt.

Ce village s’appelait Conimé. C’était un village tranquille avec des villageois paisibles et pleins de bonne humeur. Seul les petites batailles troublait le camp. Car il y avait aussi une petite armée à l’intérieur du paisible endroit. À cause des frontières, il y avait des combats, mais les armées s’en tiraient avec peu de mort.
À la tête des troupes de Conimé, il y avait deux jeunes hommes, Frémer et Sagan. Les garçons étaient ami depuis bien des années. Ils avaient partagés leur enfance. C’est après trois ans dans l’armée qu’ils arrivèrent chef de la troupe de Conimé.

Un matin, Sagan réveilla Frémer en sursaut :
Réveilles-toi Frémer ! Une patrouille a repéré une troupe d’une quarantaine de soldats au bord de la forêt !
Frémer ouvrit les yeux péniblement :
Prévient le village et dit qu’il faut mettre nos hommes en défense devant le village.
Bien. J’y vais. J’ai laissé ton petit déjeuner sur la table en fait.
Merci.
Puis, Sagan partit de la maison pour prévenir le village.
L’habitation des deux amis n’était pas grande : une pièce principale avec la table pour manger, les tonneaux pour conserver la viande ( la viande est mise dans du sel ), les lits des deux garçons, des seaux pour aller cherchez de l’eau à la rivière de Conimé et se laver avec, un placard pour le pain les légumes et les fruits ( il fallait les manger dans les deux jours à suivre ) et un grenier qui stockait les graines de blé et de tout se qu’on pouvait en manger la graine, puis aussi les champignons comestibles. En fait, la maison était constitué de deux pièces.
Frémer termina son petit déjeuner et s’habilla en soldat. Il sortit de sa demeure et partit vers l’écurie. Le sentier passait par un cartier de villageois. L’un d’eux le salua et le soldat fit de même. Il atteignit le bâtiment de guerre sans perdre de temps, rentra à l’intérieur et prit sa monture. Puis, il galopa jusqu’au forum, à l’entrée du village. Il dût passer par le marché, fermé à cette heure – ci, contournez les collines qui barrait le chemin et arriver devant le forum, au point des routes.
Tu es à l’heure Frémer, dit son ami Sagan.
C’est parfait alors, répondit-t-il.
Ils ont atteint la rivière. On devrait les voir d’une minute à l’autre !
Sagan n’avait pas menti. À peine eut-t-il le temps de finir ça phrase qu’une quarantaine de soldats apparurent devant eux. Conimé possédait une dizaine de cavaliers, une vingtaine d’archers et une trentaine de soldats à épée. Le combat allait être rapide. Devant eux, Une troupe de l’armée d’Albrum, situé au Nord de Conimé. Albrum était une ville à plus grande que le village de Frémer et Sagan. Au sud de la ville ennemie se trouvait un immense marais dont une des rives possédait une imposante mine d’or. Au nord d’Albrum de situait le plus grand gouffre de la région. Le gouffre d’Asim. Le seul moyen de traverser celui-ci était d’emprunter le pont des araignées, extrêmement hostile, celui-ci menant au pic du diable, le plus haut sommet de la contrée. A l’Est, le grand désert de Solem recouvrait le paysage, et dont après les dunes de sable chaud infini se trouvait la « Grand Cité », capitale de toute la région d’Hustomanis. Mais cette grande ville elle, se situe à l'ouest du pays, loin de cette bataille insignifiante dans le monde. Albrum était une ville simple, semblable au village de Conimé.

Frémer est Sagan regardaient la troupe arriver à pleine allure sur le village. Les chefs de village ordonnèrent alors aux archers de s’avancer sur la muraille. Des soldats arrivèrent avec des torches pour permettre aux tireurs d’enflammer leur flèches. Ils levèrent leur arc et tirèrent sur la foule. Les cavaliers tombèrent un par un avant même d’arriver au seuil de la porte de Conimé. Les soldats du village préparèrent alors des bouteilles d’huiles et mirent le feu à une mèche de sorte à ce que le liquide s’enflamme arrivé sur les ennemis. Frémer et Sagan décidèrent alors de lancer la troupe de cavaliers et de soldats. Les portes du village s’ouvrirent. L’armée sortit en dehors des murailles et les portes se refermèrent. Enfin, les deux troupes ennemis s’entre-mêlèrent et se battirent. Sagan fût attaqué par deux soldats. Il en tua un et renversa l’autre. §Le jeune chef regarda les soldats mourir autour de lui. L’ennemi, malgré les flammes sur leur dos, se montrait très résistant. La bataille allait être plus ensanglanté que prévu.
Frémer vit cinq hommes d’armes se jeter sur lui. Il en tua deux, mais les trois autres derniers renversèrent la monture du chef. Frémer profita de l’action pour abattre l’un d’eux, et en faire tomber un autre. Puis, il fût à terre. Le cinquième soldat s’apprêtait à le trancher mais Frémer réussi à lever son bras (les armures étant lourde) pour transpercer le torse de son ennemi avec son épée.
Mais malgré sa victoire, il ne pût se relever. Il dût alors attendre la fin de la bataille pour appeler Sagan. Si un ennemi l’avait trouvé vivant a sol, il l’aurait abattu. Alors, le garçon fit le mort.

Une heure de bataille passa puis le combat se terminant enfin, Sagan chercha des yeux son ami dans l’hécatombe de la bataille. Il le trouva après quelque longue minute d’inquiétude. Lui aussi en le voyant crut voir un corps dépourvu de vie. Malgré cela, en s’approchant de lui, il vit le corps se mouvoir. Sa peur se dissipa alors et Frémer parla à son ami :
Pourrais-tu me relever ? Demanda-t-il.
Sagan tira en arrière pour l'aider :
Qu'a il bien pût t'arriver
Un soldat ennemi a profité que je me batte contre trois hommes pour renverser ma monture.
Sur ces mots, Frémer se débarrassa de son armure.

Salut Bloody et compagnie
vous me croyez maintenant