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Nouvelles : les yeux d'argent chapitre 1
Publié par tenshi le 18-02-2016 14:50:00 ( 993 lectures ) Articles du même auteur



"ou suis je ?"
ce son les premiers mots qui sortirent de ma bouche quand je me réveilla dans cette plaine car apres avoir passer cette porte je ne me souvenais de rien
je n'avais jamais vu cette plaine etait je dans un autre monde ou est que c'etait juste un rêve je suis incapable de vous le dire je me leva ramassa les trois foureau qui etait
a cote de moi (c'est tous se donc je me rappellais,un homme qui me donnais ces foureau vide),et commenca a marche dans l'espoir de trouver une ville ou quelqu'un pour me renseigner
et me dire le nom de cette endroit (histoire que je me repaire),mais je ne voyais rien a l'horizon juste cette plaine qui s'etendais a perte de vue,soudain je fut
pris de vertige et m'effondra
"gamin,HE gamin tu va bien"
disait une voix que j'entendais a peine j'ouvrit difficilement les yeux et vis un homme qui devait avoir la quarantaine accompagner d'un garçon qui devais quand
a lui avoir mon age,je me redrassa
"-oui,c'est bon tous va bien
-si tu le dit mais tous nous a fait peur quand on ta vue par terre on a crue que t'était mort
-ne vous inquiéte pas je pense que je ne mourrai pas si facilement dit je en rigolant (enfin je n'en etait pas si sur quand même)
-Ha Ha t'est drole gamin,dit moi qu'elle est ton nom ?
-je m'appelle Corentin enchanté et vous qu'elle sont vos nom ?
-moi c'est Isabi et voici mon fils tokagé,suis nous tu n'a pas l'air du coin,viens donc chez moi passer la nuit et tu avissera demain
-c'est gentil mais je ne peux accepte votre proposition monsieur
-a bon et pourquoi ?
-et bien je ne vous connait pas et je suis desole si je vous parrait trop mefiant mais je ne c'est pas qu'elle genre d'homme vous ete
-je te comprend petit,bon ecoute voici mon adresse (il me tendais un boup de papier) ma porte te seras ouverte si tu veuxx te joindre a nous un jour
-merci monsieur et au revoir
-au revoir gamin"
je me leva et commenca a marcher
"-au fait pourriez vous m'indiquer la direction de la ville s'il vous plait
-tout droit gamin tu ne peut pas la louper ya une immense tour en plein milieu de la ville
-bien encore merci et au revoir"
je crut parcourir une distance enorme (bien qu'elle ne vue pas si courte non plus) mais en chemin je pus me poser des questions car j'avais beau regarde autour de moi je ne
voyais rien de connu,des fleurs d'une couleurs tres etrange (un espece de melange entre du violet et du orange) mais néanmoins tres jolie,des oiseaux laissant des
coulée de neige derriére eux ou des arbes ou poussait des fruit cubiques,cette endroit etait decidement tres bizare,mais pourquoi donc me suis je reveille ici ?,
qui m'y a envoié ? et surtout comment retourné dans mon monde ? mais je nus pas le temps de reflechir a tous sa, j'entendis une vois me disant
"-stop ! decliner votre identiter
-je m'appelle Corentin dit je en levant les yeux se qui me permis de voir un homme a la stature impressionnante
-et que viens tu faire dans la cite de xitéa Corentin
-a vrai dire je ne le sais pas moi même (c'est vrai que j'avais voulut allez en ville mais pourquoi ?) monsieur,on va dire pour chercher des renseignement
-des renseignement et a propos de quoi ?
-et bien je me suis reveiller au milieu de la plaine qui est la bas et je ne me rappelle plus de rien (il devait me trouver louche se qui me parrassait logique dans un sens)
-bien ecoute moi bien ton hisoire n'est pas tres credible,mais tu n'a pas l'air de mentir alors je te laisse rentre mais je garde un oeil sur toi
-merci monsieur dit je en passant l'immense porte qu'il venais d'ouvrir
-derien petit, ah au fait ne m'appelle pas monsieur sa me veillit appelle moi Genzou"

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Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

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