
Vint le vin, j’en pris un verre, deux, vingt
Vorace de vie, race de vos vignes, vos races
Vacherie pour ma vie, je vois les vaches rient
Virage de ma volonté et ma vile vie rage
Surprise de mon sort il faut que sur prise
S’inquiète mes sens de n’être Saint quiet
S’approche de la sortie de voir sa proche
Santé de s’abreuver aux boissons sans thé
Laineux ce laitage j’en défais les noeux
Langage lascif émerveillé pour un lent gage
Lampassé ma langue revient à l’an passé
Léopard ne griffe pas l’ami quand Léo part
Tumeur de ma tentation, attention tu meurs
Tapage dans ma tanière, tourne ta Page.
Tacler cette tare et prendre vif ta clef
Témoin de ta tentative, sûreté que t’es moins
Devoir de ma dérision de s’offusquer de voir
Déjouer tous les défis comme des jouets
Détruit par la désillusion, repaire des truies
Déambulantes dans la vase des ambulances
Aguerri par les atrocités, mon corps a guéri
Attiré par les anomalies de triste vie il a tiré
Alaise sur son appétit pour se sentir à l’aise
Attaché à son apaisement sain qui depuis il n’a taché.
☼ƑƇ