Pieds nus, les rêves écorchés, je marche sur le plancher vermoulu. J' ai vue sur la rue: où avancent les piétons, aux pensées assassinées. Le bruit des voitures, pots d' échappements crevés, Insupporte mes tympans torturés. Je me vautre dans le canapé défoncé, l' esprit vagabond. Il y a quelque chose qui cloche: Les gens tournent en rond, se cachent sous les porches. A ma fenêtre je m 'approche, Noel est proche et les guirlandes s' effilochent. Et je pense à toi. A ta santé Folcoche! Noel n' est qu' un leurre, pour mieux faire pleurer les mioches.
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