| A + A -
Connexion     
 + Créer un compte ?
Rejoignez notre cercle de poetes et d'auteurs anonymes. Lisez ou publiez en ligne
Afficher/Cacher la colonne
Accueil >> xnews >> Le péché des pêcheurs - Poèmes confirmés - Textes
Poèmes confirmés : Le péché des pêcheurs
Publié par mafalda le 03-11-2017 04:40:00 ( 703 lectures ) Articles du même auteur



Aux pas des pavés, vont les balades fluides et fades, des badauds égarés.
Au gré des luminaires, à l' approche des filets de pêches, abandonnés sur les quais,
Rongés par le sel, les gens pressent le pas, à l'arrêt, à l'appât.
Dans le petit port du péché des pêcheurs, dorment les poissons,
A la couleur d'une bataille entre la chair et l'homme.
Un être éloigné du phare, foudroyé par un espoir vain,
Se perd dans l'univers marin.
Et dans son livre d'art, aux roses de velours, aux allures médiévales,
L'artiste peint.
La fin de l'homme, sous la couverture glacée, de l'océan feutré.
Dans les profondes saveurs des flots bleus,
Aux douces couleurs, le corps s"enfonce, doucement, amoureusement.
A l'heure des grandes heures, où vont pécher les pêcheurs.

Article précédent Article suivant Imprimer Transmettre cet article à un(e) ami(e) Générer un PDF à partir de cet article
Les commentaires appartiennent à leurs auteurs. Nous ne sommes pas responsables de leur contenu.
Auteur Commentaire en débat
Mes préférences



Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

Connexion
Identifiant :

Mot de passe :

Se souvenir de moi



Mot de passe perdu ?

Inscrivez-vous !
Partenaires
Sont en ligne
56 Personne(s) en ligne (15 Personne(s) connectée(s) sur Textes)

Utilisateur(s): 0
Invité(s): 56

Plus ...