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Poèmes confirmés : Les yeux clos
Publié par modepoete le 25-10-2018 17:55:58 ( 569 lectures ) Articles du même auteur



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Les yeux clos

Les yeux clos sur le vaste spectacle
Grand écran de la vie, voilà l’oracle
Ma pensée s’assied dans la générosité
Pour saisir les images de la réalité
Que le spectacle commence ; rideau !
¤
Zeus néant, il fut un jour premier né
Se naquit la matière: Pierre atomisée
Les astres, les astres qui s’entassent
Forment du faste univers la masse
Planètes! Dansez à la saga du temps
¤
Les couleurs s’en vinrent du noir étonné
Du vermeil luisant des énergies ignées
Psalmodiant des arcs en ciel en fusion
S’illuminant d’un bleu azur d’élection
Terre multicolore; engrossant les espèces
¤
Images fastueuses ; Parade des diversités
Chaîne de la sage transformation régulée
Famille des microbes; des poissons, reptiles
S’associèrent au bipède animal, trace subtile
De l’évolution engendrant innée l’homo sapiens
¤
Temps heureux où l’intelligence supplanta
Le vieil instinct dépourvu de belles férias
Il fut ainsi que les couleurs du bon savoir
Des choses appartenant au réel, de devoir
En appelé l’un, celui de notre ignorance
¤
Et l’homo sapiens devant son pur mystère
S’agenouilla pour appeler tout fait austère
Le qualifiant de Dieu, source de ses lacunes
Impénétrable science désacralisée une à une
Laissant sage en jachère l’originelle énigme
¤
Dans ton ignoble méconnaissance d’humain
Toi l’être intelligent ne te laisse pas croire puritain
Que tu ne vis pas pour cette terre qui te porte
Dans sa nature colorée et riche qui te supporte
Quand tes bonnes manières sont pour l’au


Tu te demandes pourquoi l’arc en ciel en ce jour
Pour vrai disparaîtra au triste dernier grand tour
De l’univers se perdant dans un néant possessif
Mais regarde! La nature te parle : Visage pensif
Il fut l’origine, il sera une fin, telle est l’exclusive loi

Alors non ! Ne rêve pas d’immortalité
La science voudrait te le faire imaginer
Mais ne pense qu’à vivre lucidement
L’heureux de ton temps présent
Æ’C

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Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

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