Do, Ré, Mi, Fa, Sol…
Quelle ivresse,
À la vue de cette princesse,
Mon cœur est en liesse ;
Tant sa flamme de vie vous transporte !
Je lui ai ouvert la porte
De mon esprit pour qu'elle l'emporte,
Loin des affres de toutes sortes,
Loin de ce monde qui me blesse !
Elle a pris ma main,
Pour que je n'ai pas peur des lendemains ;
Elle veut que je sois l'Homme de demain,
Quel émoi !
De la sentir près de moi,
Me donne la force d'affronter mon désarroi,
D'entendre sa voix,
Illumine mes matins !
Elle m'a dit que ce présent
Ne faisait partie que d'un instant ;
Qu'elle se battait pour que le temps
Est un futur,
Que j'étais le nouvel élu de cette nouvelle aventure,
Que j'avais fière allure,
Et que j'étais pur !
Mais, trop près d'elle, pas assez distant,
Qu'elle ne comptait pas,
Qu'elle n'était pas là , pour les caresses d'ici-bas,
Que seul le bien de l'humanité était son combat ;
Que l'Amour soit Roi en ces nouveaux jours !
Elle a dit que c'était à mon tour
De garantir la fin de ce parcours,
Qu'elle partait sans possible retour ;
Que, désormais, c'était à moi de donner le LA !
Marco