La belle est la bête : Chapitre 2

Date 09-04-2016 19:06:23 | Catégorie : Nouvelles


Ces mots m'obsèdent "la bête" pourquoi la bête ? pourquoi suis-je ici comme ça? Et pourquoi je ne sais qui je suis? Ma vie me manque et malgré tout ma femme me manque... des larmes commencent à coulée sur ma joue, pourquoi je ne me souviens pas de moi mais de ma famille...
J'entends des bruit de pas, j'essaye de me calmer, je ne peux me montrer faible, par ici. La porte s'ouvre alors, un homme d'une cinquantaine d'années entra, me lâchant un regard méprisant...pour qui il se prend? Il était vêtu d'un costume blanc, d'une cravate grise, d'une chemise noir qui allait parfaitement avec ses cheveux poivres et sel. Il arriva vers moi pour s'assoir en soulignant bien mes chaînes, comme si je pourrai oublier que je ne peux pas bouger:
"-Enfin décider à se réveiller, dit-il d'un ton cassant.
-Si j'avais su ce qui m'attendais à mon retour, je ne me serai pas réveillée, surtout vu ou je suis et avec qui j'y suis, rétorquai-je en le désignant du regard, mais malheureusement je suis réveillée.
- Malheureusement, malheureusement tout est une question de point de vue, je suis content qu'un monstre tels que vous sois dans ma prison.
-Un monstre ? Je ne suis pas un monstre !
-Vous n'êtes pas qu'un monstre, vous êtes un monstre avide, froid, cruelle, sadique,dangereux, sans émotion, sans cœur..."
Il continua sa liste d'adjectifs péjoratifs, je m'efforce de pas l'écouter, je ne suis pas ce qu'il décris.
"-Stop! Fermez la ! Je ne suis pas comme ça! Dis je en le coupant.
-Si vous êtes cela, demander à votre petite amie...à non ce n'est pas possible j'oubliais...ce que vous lui avait fait!
-Comment ça pas possible? Il lui est arrivé quoi, ce que j'ai fait ? A part l'aimer je lui est rien fait!
-Quand vous aimez vous tuez les gens, quel vision magnifique de l'amour."

Je décidais de pas lui répondre il me donna une feuille, me détacha un poignet, il me dit alors de lire ce qu'il viens de me donner, que je comprendrais peut être. Il se leva est parti de ma cellule. Je pris la lettre, à peine en un regard je reconnu mon écriture:
"
Deux cœurs à l'unissons, deux corps en perditions, la folie d'un monde en parfaite destruction, un esprit pur et un torturé, une seule musique à écouter, le masque se brise,je lâche prise.

Un bonheur parfait disaient ils, un bonheur illusoires, qui aurai pu le croire, un bonheur en parfaite imperfection, l'imperfection de deux êtres en total addiction.

Deux esprits divergents mais complémentaires, ces mots te les dire je ne le peux alors je laisse ma plume faire, une plume qui t'avais toucher qui ta fait pleure, mais la elle va te blesser.

Toi qui m'a détruit, détruit après m'avoir donner confiance en la vie, je t'ai aimé comme je le pouvais, pour toi ce n'était pas assez, tu disais me vouloir comme j'étais, mais tu as quand même voulu me formater.

J'ai voulu m'accrocher, j'ai voulu y croire, je me suis attacher, attaché à la fine partie qui restais d'espoir.

Tes mots m'ont réchauffé le cœur, ils m'ont glacer le sang, ils m'ont fait peur, ils ont été violent, des fois doux, ce qui rend fou quand l'amour se transforme en haine, la joie est devenu peine.

Tu m'as aimer, je le crois, tu m'as quitter, je le vois, tu m'as détruite, tu as fuis, tu es partie, tu étais une partie de ma vie, je n'oublie pas, mais le pourquoi je ne le sais pas.

Ma préférence, l'ignorance, mon envie, en finir avec ta vie... les mots sur le papier, les larmes que tu as fais couler, tu es passée d'ange à démon, démon pour qui ces mots ne ferai illusion.

Je t'ai fais confiance, je me suis livrer sans méfiance, tu as été une part de ma vie, maintenant dans mes cauchemar tu vis, m'attacher je ne le devais, en tes mots je croyais...
Ma femme, ma Daphné, à tous jamais damné..."

Les larmes me montent aux yeux, ma puce, ma femme, ma chérie, pourquoi ai je écris ça ? Je ne savais même pas que j'avais écris ça. Tout à coup une image défilait sous mes yeux, elle était si brève que je ne distingua seulement une silhouette de femme endormie sur un lit.

A ce moment un gardien entra et rattacha mon poignet par la chaîne qui m'a été enlever peu avant, les larmes ne cessaient de couler.

Je m’endormis en pleur pensant à ma femme, que lui est il arrivé ? Pourquoi je ne me souviens pas de cette lettre ? Trop de question me vienne en tête, c'était ma femme, celle que j'aimais, que je haïssait, qui me faisait perdre la tête, ma femme mon monde ....






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