Il se pensait poète, n’était qu’écrivaillon, Pensant que l’ignorance, octroyait des galons, Et dispensait des bases, que le français impose, Il raillait celles et ceux sur qui l’ORée repose.
Dès lors la page blanche, offerte par ce site, Pour sa plume acérée lui semble trop petite, Liberté d’écriture !! tel était son crédo !!! Il se croyait Victor, et n’était que nigaud.
Insultant les tenants du site poétique, Refusant les scolies des Oréens critiques Qui cholent le vieux François, dont bien sûr il n’a cure, Substituant celui-ci, à la turpide injure.
Et comme ses écrits sur l’Orée faisait tache, Il eut été heureux de s’en passer ;….. hélas, Sans ce grand vide, L’Orée perdrait de sa valeur : ‘’Quand le soleil s’éclipse, on en voit la grandeur…….’’
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