| A + A -
Connexion     
 + Créer un compte ?
Rejoignez notre cercle de poetes et d'auteurs anonymes. Lisez ou publiez en ligne
Accueil >> xnews >> Arnaud - Poèmes - Textes
Poèmes : Arnaud
Publié par Basile le 10-06-2018 20:50:00 ( 821 lectures ) Articles du même auteur



Arnaud,


Ton sang dans mon cœur a coulé
Noirci de la tristesse en toi
De l'immense absence créée
Ne cessant de s'incruster en moi.


Tu es celui que j'ai voulu
Que plus jeune j'avais créé.
Tu étais présent et joufflu
Lorsqu'un jour je suis arrivé.


Quand je passe et je te vois,
Tu es ce rêve transformé
Qui m'a donné bonheurs et joies
Tout au long des 22 années.

Arnaud, mon fils !
Mon Fils invisible
Invisible et parti...


Basile Béranger Chaleil

Le 28 Novembre 2013

Article précédent Article suivant Imprimer Transmettre cet article à un(e) ami(e) Générer un PDF à partir de cet article
Les commentaires appartiennent à leurs auteurs. Nous ne sommes pas responsables de leur contenu.

Auteur Commentaire en débat
Loriane
Posté le: 17-06-2018 13:57  Mis à jour: 17-06-2018 13:57
Administrateur
Inscrit le: 14-12-2011
De: Montpellier
Contributions: 9499
 Re: Arnaud
Ouille ! çà fait trop mal !
Comment dépasser un tel cauchemar ?
Par la beauté de tes vers peut-être .
Emotion
Merci Basile

Citation :

Ton sang dans mon cœur a coulé
Noirci de la tristesse en toi
De l'immense absence créée
Ne cessant de s'incruster en moi.

Mes préférences



Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

Connexion
Identifiant :

Mot de passe :

Se souvenir de moi



Mot de passe perdu ?

Inscrivez-vous !
Partenaires
Sont en ligne
54 Personne(s) en ligne (21 Personne(s) connectée(s) sur Textes)

Utilisateur(s): 0
Invité(s): 54

Plus ...