Couscous, Moi aussi, je t'embrasse très fort. Tu es si gentille et si généreuse, maintenant il faut être forte. Grosses bises.

Boxe

Un direct du droit, vaut un crochet du gauche !

Histoire de France


Le Directoire n'avait pas de Directeur.

Posture
L'homme petit se redresse. Le petit homme se courbe.

Mon magazine préféré n'a que des photos. (MDR)

@Donald,
J'ai lu avec avidité jusqu'à la fin. Double jeux dans ton truc. Je prevoyais un vrai crime dans un faux mais j'avoue que l'épidémie de "crimes" m'a trompé. C'est surtout le style à la Alphonse Allais qui est magnifique chez toi. Le gateau c'est les ingrédiente plus que la recette. J'ai adoré et les noms sont choisis de première ! Bravo !

Merci à Couscous et Donald pour leurs commentaires. Oui. L'été pour moi a toujours été un peu l'hiver. Mais que voulez-vous, je ne suis pagaie.

Encore un petit rien sur l'été

Les Rires de l'Été

Comme je les aimais les rires de l'été !
Ces rires aux éclats de gargoulette pleine,
Diamants de la jeunesse en notre nuit lointaine,
Saupoudrant les amours de leurs grains de beauté.

Comme je haïssais tes rires de l'été !
Rires faux en fous-rires, entombant mes rêves,
Au milieu des châteaux démolis et noyés,
Dans le sable mouillé de cette fraîche grève.

Comme je méprisais mes rires de l'été !
Rires jaunes ou verts qui finissaient aux larmes,
Débordant du cœur gros de l'objet de ton charme.

Comme je me languis des rires de l'été !
Ces bulles de bonheur que ma jalouse rage
Ajouta dans l'écume, aux vagues de la plage.

Et Hop ! Voici ma contribution pour cet été. Excusez du peu !

A l'ombre de mon ombrelle
Je contemple mon nombril
Les pieds dans l'océan
Assise sur mon séant.

A l'ombre de mon ombrelle
Je sens le soleil qui brûle
Ma peau sous l'ambre solaire
Avant la rentrée scolaire.

A l'ombre de mon ombrelle
Mes deux jambes jouent entre elles
Couvertes du sable fin
Du bel été sans fin.

A l'ombre de mon ombrelle
Sombre rideau de dentelle
Du coin de l'Å“il je peux voir
Une fille aux cheveux noirs….

@Couscous
Très belle histoire qui tient à la fois du conte et de la réalité. Tribut à la mer. Oui. Mais aussi le testament de l'homme qui se repent devant la nature. Très bien écrit en tout cas, comme toujours avec Couscous. Bravo!

@Alexis
Encore une oeuvre de maître d'Alexis. Travail de pro.
« Un jour, vous comprendrez que penser n’a jamais nourri le peuple ". Très juste. Hélas ! Bravo mon jeune ami ! Un grand future est devant toi.

@Couscous et Kalimera,
Pas de plus grande joie et de récompense pour moi que de vous avoir fait passer un bon moment de lecture. Vous mes chères amies toujours aussi gentilles dans vos commentares.