Le concours des ' cageots ', je ne sais pas si ça se pratique encore. Je reconnais que c'est méchant et bête. D'autant plus que les petites mochetés deviennent bien souvent de jolies fleurs. ..J'ai connu des exemples.
J'avais un copain dont le plaisir, dans les bals,était de se voir refuser une danse par une fille. Il pouvait alors placer son petit couplet que je trouvais trop féroce :
' " Comment ! j'invite la fille la plus moche du bal pour être sur de danser et faire une bonne action, et elle me refuse ! "
Cela crié bien fort pour que tout le monde en profite..
La vengeance de ton héroïne ( je me refuse à penser que tu contes un souvenir ) était également cruel, mais à la mesure de l'affront du passé.
C'est bien: vous avez eu la pudeur de le laisser en caleçon.
Tu aurais du faire un petit paragraphe sur son corps et ses plaquettes de chocolat, pour Arielle.
C'est vrai, quoi ! il en faut pour tout le monde !
Merci Couscous ( se méfier de l'eau qui dort, hmmm ? )

Le retour inespéré,;

Il faut dire que ses bras comme des jambonneaux
M'ont empêché, ce jour, de refermer ma porte.
Qu'elle m'ait ligoté, bâillonné, peu m'importe,
Mais je n'endure pas les réveils matinaux.

Elle disait qu'elle venait pour me sauver la vie,
Que j'ignorais encor la chance que j'avais
Et qu'elles se faisait fort, foi d'Ondine Ravet,
De me faire signer, que j'en serai ravi.

Ce nom me fit un choc et je l'écoutais mieux.
Ce pourrait-il...Bon dieu !..et ne pouvant rien dire,
J'ai agité la tête afin qu'elle retire
Le bandeau de ma bouche et celui de mes yeux

Je ressentis soudain un gros poids sur le coeur.
- " Ondine ! c'est bien toi ? te souviens-tu de moi ,
Le gamin que, d'antan, tu plongeais dans l'émoi ?
Montre-toi de profil..non, reviens. Tu fais peur. "

- " Comment donc as-tu fait pour prendre tout ce lard ?
Mais...! Ces cheveux rasés...! Ces anneaux dans le nez...!
Mon prénom sur le bras, après autant d'années,
Dis-moi, ce n'est pas vrai ? je fais un cauchemar ?.."

- " Bacchus, mon bien-aimé, toi que j'ai dans la peau,
Toi qui, il fut un temps, m'envoyais des poèmes,
Toi qui n'osas jamais m'avouer que tu m'aimes,
Je suis là pour qu'enfin nous trouvions le repos. "

' " Je viens te faire signer un contrat pour la vie
Te permettant enfin de tenir tes promesses.
Pour nous, pas de mairie, et surtout pas de messe.
Le grand jour est venu : nous sommes réunis. "

Bacchus, c'est bien connu, dispose de ressources,
La trouille lui donnant encor plus de moyens.
La colère l'emporta . Ayant brisé ses liens,
Il s'enfuit en semant une Ondine à la course.

Pourquoi es-tu venue pour enfoncer ma porte ?
J'aimais le souvenir que je gardais de nous.
Ondine, ne crois plus m'avoir à tes genoux..
Ne reviens plus demain. Que le diable t'emporte !

Mon cher Louis

Ça, on peut dire que tu n'es pas rancunier. Nous inviter de nouveau après ce que nous t'avons fait la dernière fois ! Tu es maso ou amnésique ?
Hélène a eu son petit côté réaliste qui a pris le dessus. Elle s'est tout de suite souvenu qu'à l'occasion de notre dernier séjour chez vous, elle avait oublié d'embarquer quelques petites cuillères en argent qui font défaut , maintenant que nous possédons le service en totalité.
Ce qu'il y a d'épatant avec toi, c'est que tu es un ami qui respecte ses engagements , malgré le temps qui passe. En pension, lorsque nous nous sommes fait le serment de toujours tout nous partager, même les femmes, avais-je ajouté pour rire, je ne pensais pas que tu considérerais cet engagement valable après tes noces.
Je n'ai jamais jugé utile de te relever de ce serment que, pour ma part, je n'ai jamais pris en considération. Par quel miracle ta jolie épouse s'est cru tenue d'en respecter les termes, je ne le comprendrai jamais. Tu la remercieras encore bien pour moi.
Sachant qu'entre amis l'argent n'a pas de valeur, je te rappellerais que pour moi, à titre personnel , il en a gardé beaucoup.Je ne tiens évidemment pas le compte des sommes que je t'ai empruntées ( comme le mot est mal approprié ! ) puisque sont montant est et restera sans cesse en évolution.
Te connaissant bien, je ne doute pas que tu n'as jamais compté un seul instant sur des remboursements que tu n'as jamais espéré. Et d'ailleurs, en imaginant l'impossible, selon toi, à qui devrais-je emprunter une si grosse somme afin de te rembourser, sinon à toi ?
Laissons ces vulgaires question d'argent de côté, je sais que cela te chagrine.
Par contre, je dois reconnaître que je le suis assez, chagriné, moi. Tu connais ma délicatesse et tu aurais du prendre les devants avant que je me trouve dans l'obligation de t'en parler.
Ta Mercedes, que tu as fait semblant de ne me prêter que pour un week-end, lorsque j'ai du mettre ma vieille Ondine à la casse, marche très bien, merci.
Serais-tu étourdi ? te figurerais-tu que j'ai les moyens d'entretenir un tel véhicule ? Lorsque je t"ai fait signer le papier de déclaration de cession de la voiture ( tu te rappelles ? c'était ce fameux jour où tu as fait un léger malaise ), tu as oublié, et cela, je tiens à le croire, de me signaler dans quel garage tu réglerais les factures d'entretien. Mais rassure-toi ; le garage où je vais te connait et te fait confiance. Tu pourras y passer ces jours-ci, le garagiste y compte bien, le montant dû commençant à chiffrer.
Mais faisons fi de ces broutilles, revenons à ton invitation.
Justement, elle tombe à point, J'avais justement un grand, un très grand service à te demander. Le genre de service que, décemment, je ne peux demander qu'à un ami comme toi.
Tu disposes toujours de cette petite propriété de campagne dont tu te plains de ne pas pouvoir profiter ? J'ai justement un projet qui pourrait te débarrasser de ce souci.
Mais chut...nous en parlerons samedi midi, bien attablés dans le restaurant dont tu as encore oublié de nous donner l'adresse, incorrigible farceur !
A bientôt, mon vieux copain . Je suis aussi impatient que toi de te revoir.

Pictou.

Chère Arielleffe,
Tu sembles cultiver l'art de flatter avec une grâce et une délicatesse bien féminine, et ce, au plus haut point.
Tes évocations de nuisances subies lors de ton dernier passage sont évoquées avec un tel tact et une douceur si suave et légère que je me demande si une seule de tes allusions a transpiré.
En tous cas, moi, je n'ai ressenti qu'un plaisir mal dissimulé de renouveler l'expérience.
Pour la peine, tu iras une fois encore.

Bises de Bacchus.

Chère Couscous
La facilité que tu sembles avoir pour t'immiscer dans toutes les mauvaises combines me fait paraître ta lettre entièrement plausible.
Mais tu as décidément le fin mot de l'histoire : tant que le frigo est plein.....
Bises de Bacchus qui se dépêche : il a une lettre à écrire

Cher Donaldo75 ( Moi, c'est Bacchus 72, je les aurai dans quelques jours ).
Côtoyer une célébrité évoluant dans les hautes sphères des jeux télévisés est un honneur grisant, d'autant plus que j'ai l'impression d'avoir trouvé en toi mon alter-ego. En effet, sache-le : fanatique du jeu " qui veut gagner des millions ", je peux affirmer, sans me vanter, être parvenu, d'une manière quasi systématique, à répondre régulièrement aux deux premières questions de CHAQUE questionnaire.
N'en sois pas étonné. Je met ma réussite sur le compte de mon expérience et ma faculté à retenir les leçons de l'existence.
Tu vois que nous avons beaucoup de points communs
Amicalement Bacchus

Ce site ayant déjà disserté sur l'éventualité d'une dentition chez les canards, de ses divers accommodements à l'approche de noël et de moult explosions fleurissant dans le maquis à quiconque s'approcherait, avec de coupables intentions, d'un certain canard aussi laid que goinfre, je me demande si ta présentation ne serait pas une forme de provocation pour juger de nos intentions.
Quoi qu'il qu'il en soit, quand on est ami avec une Belge et une Havraise, il parait évident que la loi des compensations doit t'octroyer certaines valeurs te faisant pardonner ces petits dérapages.
Éternel Candide sur internet, je viens de découvrir cette page de présentation après deux ans de présence sur ce site !
J'en profite donc, avec excès, pour m’essayer aux délices du dénigrement et de la délation au détriment de deux faibles femmes que, par ailleurs, j'aime beaucoup, mais qui ont l'avantage d'être trop respectueuses de mes cheveux gris pour rouspéter comme elles le devraient.
Ai-je trouvé le temps de te dire combien je suis ravi de ta venue ?
Salutations amicales de Bacchus.

Dans ce domaine, mon cher Kjtiti, j'ai déjà tenté d'utiliser ma baguette qui en grésille encore d'épuisement.
Comme il est bien connu qu'il naît, chaque jour, autant d'imbéciles qu'il en meurt, on peut être assuré que les politiciens ont encore de beaux jours devant eux.
Je n'arriverai jamais à m'habituer à la crédulité de mes concitoyens. La plupart du temps , ils sont méfiants et désabusés, face aux événements courants de l'existence, mais dès le soir venu, juste avant le match de foot qui fera leur délice, à l'heure où l'on massacre des populations dans un coin du monde, ils aiment écouter quelques discours.
Peu importe l'étiquette de l'orateur. Peu importe les casseroles que celui-ci trimbale depuis des années. Malgré les mêmes promesses énoncées sans convictions, car les répétitions fatiguent, notre bon Français, tout en alignant ses bières à portée de main, déguste chaque syllabe proférée sur un ton persuasif qu'il connait si bien. Certains tribuns , avec l’expérience d'une longue profession, arrivent même à sangloter, avec de vraies larmes aux yeux.
Le verdict final, celui qui déterminera quel sera leur bulletin de vote, se résume en quelques mots :
_ " Aah ! Il cause vachement bien ! "
Pour le fun, et avec les moyens dont je dispose, il m'arrive parfois d'utiliser une arme que nous sommes peu à posséder :
Je peux arriver à proférer les pires inepties sans rire ni sourire. C'est justement ce que les auditeurs cherchent à détecter chez celui qui les harangue: le démenti au fond des yeux.
C'est pas croyable ce qu'on peut faire ingurgiter !
C'est cela, la politique.
A l'heure où il serait presque nécessaire d'installer un distributeur de tickets de visites à notre porte d'entrée, les édiles se bousculent pour nous expliquer, preuves photocopiées dans la serviette en cuir, combien leurs adversaires sont vénaux et malhonnêtes ( tout à fait authentique ! ). les preuves des uns annulant les preuves des autres.
Je ne regrette pas de ne pas avoir fait de politique. J'aurais trop eu tendance à vouloir faire ce que j'aurais bien été obligé de dire.
Et ça, c'est pas possible.

J'ai regardé avec un très grand intérêt ces documentaires sur une guerre dont les origines sont extrêmement complexes.
J'ai eu la nette impression que tous les militaires de tous les pays étaient fort excités à l'idée de partir en guerre , et les hommes politiques avides de conquérir ou reconquérir des pays qu'ils considéraient comme leurs.
Il y a actuellement des relents de vieilles passions dans l'air.

La petite Tiffany ( plouf-17 ) , compte tenu de son jeune âge, a bien des qualités prometteuses et une plume qui mérite notre attention.
La plupart d'entre nous, d'ailleurs; l'ont remarqué et lui adresse des encouragements bien mérités.
Loriane a créé à son attention la distinction de MASCOTTE de l'Orée des rêves.

Bienvenue à notre mascotte !

Je suis persuadé que chacune et chacun sera d'accord pour répondre à ses questions et la conseiller, l'encourager dans ses écrits. Nous serons ses marraines et parrains.
Car c'est aussi la vocation de notre site.
Salutations amicales à tous, de la part de Bacchus