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Antilles Jamaïque Reggae
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Good good good ...
Yannick Noah Redemption song
http://youtu.be/eQHgbIHlovE

Posté le : 12/04/2012 09:53
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publication de mon recueil de poésie "Impressions new-yorkaises"
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Description
120 pages dont 3 illustrations couleur
reproduisant des peintures de l’auteure
Prix de vente TTC : 15 €
Frais d’envoi : Belgique : 2 €
France : 5 €
Où puis-je me procurer ce recueil ?
Auprès de l’auteure :
Emmanuelle Ménard
12, Place Saint Antoine
BE-1040 Bruxelles
Auprès de l’éditrice :
Joëlle BILLY
24, Grand’ Place
1435 Mont-Saint-Guibert
 : 010-65 72 83
courriel : lecoudrier2005@scarlet.be
compte bancaire :
IBAN BE60 0630 3910 4270
BIC : GKCCBEBB
Le livre peut aussi être commandé et retiré à la
Librairie Wallonie-Bruxelles, rue Quincampoix,
Paris (près de Beaubourg)
Parution aux
Editions LE COUDRIER
Fièvres de verre
où s’abîment
les vertiges
vos peurs m’ont habillée
de fausses vérités
Matière trémoussante
sur des brumes infidèles
les bateaux croisent les ponts
et rentrent dans le corps
de cette liberté
qui n’a jamais sommeil
Sombres
pavés
aux flaques de ciel
vous portez là
mes rêves et mes terreurs anciennes
vers d’autres pas peut-être
qui croiseraient l’aventure

« Flux arrêté sur images qu’aussitôt d’autres
chassent, les flashs se bousculent, rendant compte
de la surstimulation que provoque la mégapole.
Poème fleuve pour ville monde, New-York inscrit
ses contrastes dans l’oxymore, ange démon,
paradis enfer, qui nous laisse sur sa fascination.
Emmanuelle Ménard avait rêvé New-York avant
même d’y séjourner. Mots d’amour et de guerre
où le froid métal côtoie l’âme ardente de la ville,
ce recueil est avant tout le fruit d’un coup de
foudre. Il évoque aussi la rencontre fatale avec
l’être aimé qui se superpose à la ville : ici la
poétesse est l’amoureuse qui déambule à la fois
dans le dédale des rues et dans le dédale de son
coeur. »
(4ème de couverture, extrait de la préface de
Jean-Michel Aubevert)

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Posté le : 09/04/2012 22:57
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roman deux jours comme l'hiver publié chez l'harmattan
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roman "deux jours comme l'hiver " publié chez l'harmattan

Écrit à Paris dans les années 2000, ce roman s’inscrit dans un genre lyrique dominé par la voix du personnage principal, François. D’où la prédominance du monologue intérieur traversé par de multiples digressions. Le fil rouge est la rupture entre Claire et François, qui conduit ce dernier à plonger dans son passé et à se livrer à de multiples réflexions sur la vie, la société actuelle, l’amour, le temps, la liberté, la solitude de la douleur, etc. De même qu’elle l’emmène dans une folle odyssée de Paris, mêlant les souvenirs au présent, et qui durera deux jours.
Dans cette souffrance obsessionnelle où la femme aimée, absente, fait figure de proue, François est progressivement acculé à la folie. Une folie à la fois bénéfique et fructueuse qui lui ouvrira de nouvelles portes tout en lui renvoyant une image plus riche de lui-même et qu’il n’avait pas soupçonnée. Ainsi l’histoire de ce drame banal prend peu à peu une forme très personnelle et originale où le protagoniste se transforme en un voyageur immobile qui erre entre les questions et les doutes et ne sait plus quoi faire de sa vie. La fin, quant à elle, est délibérément ambigüe pour laisser au lecteur le soin de l’interpréter comme il le souhaite.

Extrait

Claire ne le quitte pas, elle est là, à sa table, à observer les autres avec lui… Que dirait-elle de cet homme entre deux âges à l’air venu d’ailleurs, un œil sur son assiette et l’autre sur son journal ? « Tiens, un petit pois qui a atterri dans la soupe ! » ou encore : « Regarde ce type là-bas, on dirait qu’il a deux estomacs, un dans le ventre et un dans la tête ! ». Et de ce couple juste à côté où la femme semble être plus âgée ? « Ah, un gigolo de plus pour faire le rigolo ! » ou : « J’aime bien ce style genre le Louvre avec la pyramide, un peu de moderne avec de l’ancien ! ». Et de ces deux jeunes filles en train de discuter à grands gestes ? « On se croirait en Afrique sous l’arbre à palabres ! » ou : « Ecoute un peu ces bavardeuses, elles devraient faire attention, bientôt les mots vont tomber dans leurs nouilles ! ». Et de ce vieux monsieur qui ramasse consciencieusement les derniers grains de riz dans son bol ? « Le pauvre, il a l’air d’une fourmi qui fait ses réserves pour la semaine, ça doit être jour de festin pour lui ! » ou : « Ça me fait toujours du mal de voir des personnes âgées toutes seules, surtout dans un endroit public, elles me font penser à des branches mortes au milieu de la forêt, tu ne trouves pas ? ».






Née en France le 24 septembre 1965, Emmanuelle Ménard a fait des études de Lettres Modernes à la Sorbonne. Diplômée d’un D.E.A, elle s’est particulièrement attachée à l’analyse des moralistes du XVII siècle tels que La Rochefoucauld et La Bruyère.
Elle a ensuite travaillé à TF1 Publicité où elle a rédigé deux livres à l’attention de la clientèle, l’un sur Venise, l’autre sur Vienne, publiés par les éditions de TF1.
Actuellement elle réside à Bruxelles où elle enseigne le Français-langue étrangère et travaille en tant qu’animatrice dans un home de personnes âgées.
Parallèlement, elle continue à se consacrer à l’écriture sous ses différents aspects (théâtre, récits, nouvelles, poésie) et publie régulièrement des poèmes dans deux revues belges. Un recueil de poésie, « Impressions new-yorkaises », vient aussi d’être publié aux éditions Le Coudrier.

Posté le : 09/04/2012 22:50
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publication de mon recueil de poésie "Impressions new-yorkaises"
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Bonjour

J'ai le plaisir de vous annoncer la publication de mon recueil de poésie avec quelques illustrations de l'auteure!

Recueil intitulé "IMPRESSIONS NEW-YORKAISES" aux éditions du Coudrier.

Ci-joint la présentation avec des extraits et le lien pour se le procurer!

Emmanuelle Ménard

Posté le : 09/04/2012 22:09
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publication de mon premier roman "Deux jours comme l'hiver"
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Bonjour

Je vous annonce la publication de mon premier roman "DEUX JOURS COMME L'HIVER" aux édit L'HARMATTAN.

]Roman demandé par Erik Orsenna pour être présenté au prix Orange
[
Pour ceux désireux de donner un petit coup de pouce de lecteur, il est facilement disponible et référencé sur Amazon.be...

EMMANUELLE MENARD

Pour plus d'informations, allez sur ma page FACEBOOK

Ci-joint les feuilles de présentation avec extraits et toutes les informations!

Posté le : 09/04/2012 22:06
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qu'est-ce que le 1 Avril ?
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Origine du poisson d’avril

(D’après le « Journal de Verdun » paru en 1749,
« Album littéraire et musical de la Minerve » paru en 1849
et « La Semaine des familles » paru en 1862)


Le Poisson d’avril, tout le monde le sait, n’est autre chose qu’une attrape, un piège innocent (et bienséant, cela va sans dire) que l’on tend à quelque personne amie, parente ou familière, le premier jour de ce mois d’avril. Donner un poisson d’avril à quelqu’un, c’est lui faire faire une démarche inutile, lui annoncer une nouvelle qu’on invente, l’envoyer au-devant de quelqu’un qui ne vient pas, en un mot, se divertir un peu à ses dépens, et éprouver sa patience.
Une première origine est donnée par des ouvrages tels que l’Origine des proverbes, le Dictionnaire de Trévoux au mot Avril, ou encore le Spectateur anglais : l’expression poisson d’avril serait liée à la corruption de la passion de Jésus-Christ qui arriva le 3 avril : Jésus étant renvoyé d’un tribunal à l’autre, et contraint de faire diverses courses par manière d’insulte et de dérision, on aurait pris de là la froide coutume de faire courir et de renvoyer, d’un endroit à l’autre, ceux dont on voulait se moquer.

En effet, dans les premiers temps du christianisme, le clergé, afin de graver plus puissamment dans l’esprit des populations le sentiment et le souvenir des mystères de la religion catholique, eut recours à des représentations scéniques. Lors des grandes fêtes de l’année, le peuple venait écouter pieusement ces pièces religieuses, qui n’étaient pour lui qu’un commentaire vivant de l’évangile du jour. Rien de profane ne se mêlait à ces jeux, et ce ne fut que plus tard, au XIIIe siècle, que des éléments profanes vinrent se mêler à ces cérémonies religieuses et en modifier à la longue le caractère sacré. Dans les premiers jours d’avril avaient lieu ces représentations de la Passion, et l’assistance écoutant avec terreur, voyait le Christ, raillé et renvoyé de Caiphe à Pilate et de Pilate à Caiphe. Plus tard, l’habitude rendit la terreur moins grande, et quelques railleurs impies, en revenant le soir de l’église, s’amusèrent à répéter la scène du matin aux dépens de leurs amis ou de leurs voisins. De là, l’origine avancée de ce jeu du premier avril, et le nom de passion passant de bouche en bouche et n’étant plus guère compris, devenant le mot poisson.

Une deuxième origine fut proposée : le mois d’avril étant peu favorable à la pêche, plus d’un gourmand se serait vu, à cette époque, privé d’un plat délicat sur lequel son palais avait compté. Mais cette explication, pour suffisante qu’elle soit à justifier l’expression Manger du poisson d’avril, semble n’avoir aucun rapport avec les facéties du 1er avril.
On donne également une troisième origine, beaucoup plus récente, de cette expression : un prince de Lorraine que Louis XIII faisait garder à vue dans le château de Nancy, aurait trompé ses gardes et se serait sauvé en traversant la rivière de Meurthe, le premier jour d’avril. Certes le duc Nicolas François, frère de Charles III, duc de Lorraine, quitta son évêché de Toul et le chapeau de cardinal par politique d’État, avant d’épouser à Lunéville, au mois de mars 1635, la princesse Claude, sa cousine germaine, fille de Henri II. Puis, s’étant retiré à Nancy et ayant eu vent qu’on voulait le conduire à la cour de France, il trompa ses gardes.
Mais en réalité, le prince ne passa point la rivière de Meurthe à la nage, et sortit par une des portes de la ville, déguisé en paysan, portant une hotte pleine de fumier, de même que la princesse. Il aurait simplement délibérément choisi la date du 1er avril pour s’échapper et tromper les Français. Une jeune paysanne des environs de Nancy, qui fournissait journellement du laitage à la cour, reconnut la princesse malgré son déguisement et, l’ayant dit à quelques soldats de la garde, ceux-ci se figurèrent que cette fille voulait leur donner à tous le poisson d’avril, en les faisant courir mal à propos ; ce qui donna au prince et à la princesse le temps de gagner leurs chevaux pour se réfugier à Bruxelles, auprès du cardinal Infant. Cette évasion fit dire au peuple que le roi avait donné à garder un poisson d’avril, mais l’usage était connu au XIVe siècle, à en juger par les manuscrits du pasteur Paul Ferry relatifs à l’histoire de Metz et dans lesquels il cite déjà l’expression...
Une quatrième opinion fait remonter l’origine de la coutume au changement opéré sous Charles IX, quand l’année, qui jusqu’alors avait commencé le jour de Pâques, dut s’ouvrir le 1er janvier. Les étrennes du premier de l’an furent donc offertes trois mois plus tôt, et il ne resta dès lors pour l’ancien premier jour de l’an que des félicitations pures et simples, auxquelles les mauvais plaisants ajoutèrent des cadeaux ridicules ou des messages trompeurs.
Un des plus curieux poissons d’avril dont le bon vieux temps nous ait légué le souvenir, se déroula en 1686 et mit en scène un abbé de Caen, Michel de Saint-Martin, né à Saint-Lô en 1614, original toujours crédule au dernier point, bonhomme par-dessus tout. Ce personnage était, pour les sociétés de la ville, un divertissement que les habiles faisaient alterner avec la lecture de la Gazette de France ou du Mercure Galant. Notez que le digne ecclésiastique sacrifiait aux muses, et se proclamait un dévoué serviteur des sciences et des lettres ; mais ses ouvrages étaient à la hauteur de ses idées et de sa conduite. Il publia, entre autres, un livre bizarre, singulier, absurde, intitulé : le Moyen de vivre en santé au delà de cent ans. Or, il était difficile après cela de ne pas jouer quelque bon tour à l’auteur : les nouvelles de la cour en fournirent bientôt l’occasion.

Les gazettes étaient remplies de détails circonstanciés sur l’arrivée en France et sur la réception prochaine, à Versailles, des ambassadeurs du Royaume de Siam (ancien nom de la Thaïlande), accompagnés du premier ambassadeur français qui y avait été dépêché l’année précédente par Louis XIV, Alexandre de Chaumont. Les sociétés de Caen s’entretinrent longtemps de cet événement, qui faisait grand bruit. Notre bon abbé n’étant pas des derniers à s’enquérir des histoires merveilleuses racontées à ce sujet, il ne parla plus, ne pensa plus et ne rêva plus qu’aux ambassadeurs siamois, avant qu’une idée des plus folles ne traversât la cervelle de quelques gens du bel air, certains de trouver appui dans toute la ville, plus certains encore d’avoir un auxiliaire puissant dans la crédulité de leur victime. Le premier avril arrivait dans quelques jours. On annonça à M. l’abbé de Saint-Martin que Sa Majesté le roi de Siam, après s’être fait lire son admirable livre, avait été si charmée de l’incomparable découverte que ce livre renfermait, qu’elle avait résolu d’envoyer à l’auteur des ambassadeurs pour lui offrir le rang de mandarin et le titre de son premier médecin.
Toute la ville s’en mêla : les gens les plus graves y prêtèrent volontiers les mains, les sévères magistrats tout comme les autres. Tout fut prévu ; il y eut autorisation du roi de France pour conférer à l’abbé les hautes dignités de mandarin et d’Esculape. La mascarade fut complète. Le bonhomme dut se croire mandarin, en toute sécurité, et ce fut grand plaisir de le voir revêtu et chamarré des insignes de ses nouvelles fonctions. Mais le jour d’avril passé, l’abbé ne put croire à ce poisson d’un nouveau genre, et deux années s’écoulèrent avant qu’il voulût bien reconnaître qu’on s’était moqué de lui. En 1738, Charles-Gabriel Porée, écrivant sous le pseudonyme de Censorinus Philalethes, rassembla nombre d’anecdotes amusantes sur les extravagances de l’abbé de Saint-Martin, dans un ouvrage intitulé La Mandarinade, ou Histoire du mandarinat de l’abbé de Saint-Martin.










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Posté le : 09/04/2012 14:40
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Si différents et si proches Emotion
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Emotion jusqu'aux larmes
http://youtu.be/NyBwQsvP8GU

Les animaux sont très drôles et les humains sont de drôles d'animaux
http://youtu.be/3x6MJcvqcT4

Posté le : 09/04/2012 13:32
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Re: Concours de poésie pour Pâques
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Ah oui ça se mange sans faim!!
Oeuf de crocodile, de caille ou de pigeon
Oeufs de lump pour tartiner les croutons
Oeufs de joie pour satisfaire nos chérubins!!

Retour des cloches à la résurrection
La main de Dieu en silence veille
Pendant que les autorités surveillent!
Cruel monde qui perd la raison.

Visiblement cette poule avait fauté
Ces oeufs sont bien trop bariolés
La cuisse lègère devant la diversité!!
Coquine mère aux poussins acidulés!

Le parme sent les pays latins
L'écarlate tout droit sorti d'une corida!
Cet azur arrivé de l'océan froid
Ce doré des îles tombé du mont palatin!

Nid vivant à cuire, ou manger cru
En oeuf ou en poussin
Il n'en restera rien!

Posté le : 08/04/2012 18:40
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Re: Pas de politique sur le site OK mais ...
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Oui, ça fait un peu : après moi le déluge... Enfin, un peu, beaucoup !
s'en foutent royalement, ils me donnent tous l'impression d'être tellement dépassés qu'ils n'ont qu'une idée en tête se faire élire, et c'est marre ! ils pensent peut-être ce sera toujours ça de pris, la retraite est bonne et ça fait du bien à l'ego, le pouvoir.
Résultat ils essaient juste de ne pas trop nous contrarier, d'aller dans le sens du poil, certains d'avance qu'ils ne seront d'aucune réelle utilité.
On pourrait tout aussi bien élire Jeanny Longo ou pif le chien, ce serait aussi prometteur.
lIs ne croient pas en eux, et nous non plus, alors la planète !!!! bof, c'est quoi ça !!!
C'est juste notre maman, ouais et alors ???!
Depuis quand on ménage une mère sur cette planète ?? hein, c'est quand même pas Dieu le père !
Ah Dieu le père ! là, on ne rigole pas !

Posté le : 08/04/2012 18:03
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Re: Défi de printemps
Plume d'Argent
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Ah "Saigneur"....les Régimes......
Régime Gym !!
Mangez tout mangez rien
Devenez végétarien
Régime, on connait la musique
On finit anorexique!!
Mangez moins et encore moins....
Tu finis où, en grands soins !!
Vis heureux, un sourire et tu vas bien,
Croque la vie à pleine dents
Reste parmi nous vivant.....



Posté le : 08/04/2012 15:49
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Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

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