La mer, je t’aime.
Devant moi, tu te laisses aller au gré du vent. Tu avances toujours sans vraiment vouloir t'arrêter. Tu finis sur le sable le long du rivage. Telle une balançoire qui avance et qui recule.
Le reflet de la nuit qui tombe… Sur ton miroir, me donnent des envies, celles de rêver. Tu me chantes une mélodie que je ne comprends pas toujours. J’aime la mélancolie que tu m’inspires.
Tu me séduis sous ces airs qui me font sourire ; Ta beauté est si divine, que j'en suis tombé amoureux. J'en oublie le temps debout à tes côtés. Sentir ton odeur qui sort de l'imagination.
Il est venu le temps pour moi de repartir. Sur la terre patrie, je ne te dis pas au revoir, car je viendrai te revoir. Je sais que tu as encore tant de choses à me dire. Et à me faire découvrir, la mer, toi que j'aime.
De Daniel, M. .
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