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Poèmes : La mer, je t'aime .
Publié par danielm le 04-12-2018 01:00:00 ( 535 lectures ) Articles du même auteur




La mer, je t’aime.

Devant moi, tu te laisses aller au gré du vent.
Tu avances toujours sans vraiment vouloir t'arrêter.
Tu finis sur le sable le long du rivage.
Telle une balançoire qui avance et qui recule.

Le reflet de la nuit qui tombe…
Sur ton miroir, me donnent des envies celles de rêver.
Tu me chantes une mélodie que je ne comprends pas toujours.
J’aime la mélancolie que tu m’inspires.

Tu me séduis sous ces airs qui me font sourire ;
Ta beauté est si divine, que j'en suis tombé amoureux.
J'en oublie le temps debout à tes côtés.
Sentir ton odeur qui sort de l'imagination.

Il est venu le temps pour moi de repartir.
Sur la terre patrie, je ne te dis pas au revoir, car je viendrai te revoir.
Je sais que tu as encore tant de choses à me dire.
Et à me faire découvrir, la mer, toi que j'aime.


De Daniel, M.
.

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Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

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