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Annonce : Théories naturelles et idées sociologiques
Publié par Rikimaru76 le 08-11-2022 23:00:00 ( 179 lectures ) Articles du même auteur



Depuis l’existence de l’Homme, de la naissance des premiers villages, où il existait des tribus. Les hommes et les femmes défendaient leurs enfants, ils avaient des armes pour se défendre, ils construisaient des huttes pour se mettre au chaud et se protéger des bêtes sauvages, qui rodaient aux alentours. Les yeux allumés pendant la nuit, les poils dressés, les animaux n’avaient pas peur et il existait un équilibre naturel avec les éléments, les montagnes, l’eau.

Ils combattaient dans les forêts pour se nourrir, cueillir, même plus tard dans des châteaux pour des questions de territoires. C’était déjà le commencement de l’emprise de l’homme sur le naturel.

Nous pensons à la naissance d’un Etat, ou plutôt d’un pays, comme nous en parlait Norbert Elias, qui décrit les différents combats, qui nous ont amenés au moyen-âge, au début d’une civilisation qui ressemblait à un pays. C’est un phénomène qui s’est élargit et répandu d’un royaume à un autre, afin de permettre différentes civilisations ou tribus que l’on pourrait dire avancés, ce serait des tribus qui sauraient se battre, où des groupes auraient été asservis pour créer une armée plus forte.

Enfin bon, la naissance du tiers Etat, l’asservissement des villageois, des pauvres pour cultiver les champs, nous a amené à la révolution, où Voltaire nous a fait pensé à des idées démocratiques qui pourraient sauver notre pays, ces idées se seraient répandu à travers l’Europe, aux Etats-Unis, même en Asie.

Les idées démocratiques de Voltaire, nous ont aidés et même ont permis de fonder l’école de sociologie. Des lettres, à la sociologie, les facultés ne sont pas si éloignées, des conceptions, des idées ont put se transmettre, les érudits comme Auguste Comte, ont fait un travail sur la société. Un premier fondateur qui nous a permis de vivre dans la société que l’on connaît aujourd’hui, qui a été reprit par Emile Durkheim que l’on connaît pour son excellent travail sur l’anomie, qui désigne une forme de suicide dans la société même s’il était un peu à côté de la plaque sur le travail, car le travail n’est pas que économique, qu’il revient au social. Il n’est pas bon d’insister sur l’économie surtout à une époque où le commerce nous a amenés à la fin de notre monde, même l’esclavagisme et à la disparition de certaines tribus.

Marx a aidé à la révolution, mais n’a pas réussit à obtenir la pleine révolte des ouvriers contre les industries, le prolétariat a pris le contrôle et c’est très dommageable pour les individus qui vivent en société. Il existe des groupes de résistances mais ils sont annihilés par les nouvelles technologies, portables, satellites. Certains croient en une nouvelle forme de démocratie par le biais des portables et réseaux de communications mais nous ne sommes pas convaincu par le bien de ce travail.

C’est un travail intellectuel, il est possible que ce ne soit pas un livre car la personne qui vous écrit, est au bord du suicide. C’est une société, où il est difficile de s’adapter, il existe des portables, des voitures, qui rendent difficile la vie en société, pour des littéraires, des poètes, pour des personnes qui auraient quelque chose de contemporain, c'est un texte intellectuel.

Il n’empêche que le monde n’a pas évolué, au contraire il aurait contre-évolué à cause d’institutions qui prendraient trop de place sur notre société, trop d’infrastructures même commerciales nous ont mis à notre fin. Des professeurs d’histoires pourraient être contredit, des guerriers qui mourraient à la vingtaine, soixante pour les plus vieux, les plus expérimentés mourraient à la quarantaine, des femmes fortes qui faisaient des bébés ou qui mourraient avec, était-ce vraiment une contre-évolution…

Ils étaient plus forts et savaient mieux se battre, certains n’ont plus contact avec les animaux, même avec la nature, si on peu parlait de progrès, savoir se battre dans un milieu hostile pourrait être une évolution même si nous mourrions plus jeunes.

Des fous ont voulu les progrès et le vieillissement de la société sans se rendre compte des conséquences désastreuses pour la nature dans le milieu dans lequel on vit. Vivre plus difficilement n’empêche pas l’homme et la femme de vivre en harmonie avec la nature.

Mère nature doit être bien triste, de ce que l’on a fait de la société, mais est-ce que la société était une bonne idée ? C’est une question à travailler, l‘avènement de la société nous a peut-être amené à notre perte, nous aurions dût vivre différement et plus respectueusement de ce qui nous entourent et nous faisaient vivre.

La vie était belle, mais une transition écologique est impossible avec ce que nous avons construit, et impossible de faire bouger les personnes qui nous dirigent. Beaucoup de flemmards et de flâneurs dans la société.

Nous proposons de sauver des personnes dans la société. Les seules chances de survie de ces jeunes, les améneraient à des combats à morts, si certains n’acceptent pas de s’écarter de la société. Les pauvres doivent s’armer et être résolut, ils doivent sauver les meilleurs hommes et femmes pour leur survie et certains doivent laisser leurs places même s’ils ont bien combattu. Il faut accepter, que jeunesse se fasse, mais nous éliminerions les mauvais parleurs s’ils étaient possible, prenez votre destin en jeu et battez-vous aussi naturellement que vous le pourrez avec toute votre âme.

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Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
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