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Accueil >> xnews >> Mon Dieu mon Dieu (texte du départ qu'il a fallu traduire en roumain) - Poèmes - Textes
Poèmes : Mon Dieu mon Dieu (texte du départ qu'il a fallu traduire en roumain)
Publié par Vadnirosta le 14-03-2023 12:50:00 ( 95 lectures ) Articles du même auteur



Mon Dieu mon Dieu

Une mort schizophrénique, mon Dieu mon Dieu mais que vois-je ? Quetzalcoatl le christ bouddha les poumons en plâtre la Vierge Ah misère étoilée, Lui, blessé sur la côte et toi l'araignée thomas y'a-t-il encore assez de mort compressée Cable de fournaise Inspiration, expiration, sistole une bribe de grimaces Au-dessus de mon imeuble la lune dans la patrie du ver, Viscères et tétins mangent le beurre de la terre, Ah, Femme, respire une paire de poumons N'éclateras-tu pas, victor nous autres quand nous pensons nous maigrissons, quand nous aimons, nous maigrissons Ah les tendons blancs, qu'aimons-nous ? Se renverse un globe oculaire après quoi la ville se déploie avec son enfer de tubes. Deviendront des lettres comme des veines

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Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
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