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Accueil >> xnews >> L'autoroute 64 - Poèmes confirmés - Textes
Poèmes confirmés : L'autoroute 64
Publié par Terra le 22-02-2012 23:49:25 ( 998 lectures ) Articles du même auteur



J'ai le sentiment d'insécurité
Comme cette grandiose idée
De toute cette politique médiatisée
Qui nous informe sur la grande uniformité
Je déblatère à fond sur notre mauvaise société
Si chère société de consommation qui continue de nous diriger
1964, arraché de tout mon être, déchiqueté de toute mon animalité
1964 une autre vie est enfin prête à commencer

Nous sommes devant l'affiche, toutes ces superbes conneries
Ecarter enfin l'extravagance de nos anciennes vies
Les années 60, années de l'hypocrisie
Le mer nous renvois nos vieux amis
Soldat du monde, la guerre est finit
Effaçant notre rancune, nos vies se plient
Une autre vie !
Tous des conneries !

Une autre vie se mêle aux nouvelles, la violant comme l'homme viole les lois dictées par la société désarmée
Comme des turbulences s'expliquent par la rage et l'amour de la vie écrasée par le vent affreux dissout de notre armée
Le sang des citoyens s'écoule sans problème dans les mains de la justice emparée par la violence qu'elle à utilisée
J'avais le sentiment ! Le sentiment d'être quelqu'un de bien s'informant de tout les faits et gestes de ma patrie dés harmonisée
Et pourtant la vie usée par le fric et l'alcool, la Marijuana comme placebo remplaçant le salaire de tout homme emprisonné
J'ouvre les yeux sur les gens comme vous, des pauvres gens imbibés de médicaments, j'ouvre les yeux et je vois la voie lactée
La vie recrachant ses poumons de plus en plus chaque jour, respirant l'air pure d'une liberté conditionnée
Une autre vie qui cependant reste ancienne, se violant parfois elle-même, dictant ses intentions de tuer !

Les années 60 sont là
1964 une apologie ici bas !
Préférant marcher du mauvais côté
Le voyage durant éternellement
Mélangeant du crack dans mon café
Je peux tout comprendre à présent
Avec vous j'attends ! Le "Wartime"
Avec vous j'entends la transcendance

Le meurtre vous sauvera, vous la population indécente
Votre faute est tellement flagrante
Couper la tête et le reste vous suivra
Allons donc tuer le Roi !
Allons arpenter les rues
Plus déserte que le désert froid
Puisqu'il n'y a rien d'autre de prévu
Mangeons-le froid !

Sortez vos guitares crachant du feu pour empoisonner l'ennemi, chantons tous ensemble le refrain des guitares saturées !
Sortez vos voix remplies de sang, tous ensemble chantons le refrain désillusoire des assemblées ensanglantées !
Crimes et absurdités seront donc écrasées par l'animation de toutes nos voix fausses et complètements abandonnées
Refrain de guerre plaçant l'ami en ennemi nageant dans le désespoir surréaliste et la réalité amplifiée
Réaction de vos visages chantonnant la mort de vos confrères si haut placés 
Une autre vie en attendant la révolution de 68, en attendant la mort nous suivant à grands pas 
Les années 60 explosant tout les codes sociaux et moraux naissant des quatre coins du monde des rats
J'avais le sentiment, que mon cœur s'arrêtait, à chaque exclamation de ce chant ! Oubliant toute cette nostalgie qui m'animait autrefois. 

Le cœur énorme se redressant face à la cruauté, une autre vie déstabilisée, le coeur coupé face à la réalité, mon cœur mon cher aimé. 

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Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

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