Si le simple mappage Vous amène à pleurer votre plumage Sachez monsieur le corbeau sage Qu’il vaudrait mieux tourner la page
Le rameau d’olivier vous est tombé sur la tête Et c’est bien cela qui vous embête Si la paix elle-même tomberait peut-être Vous devez reprendre les manettes
Car quand la nuit tombera Et j’en suis sûr elle s’en souviendra Vous ne pourrez sûrement pas Etre épris et vous étendre, las
Oui vous monsieur le corbeau Qui semblait si beau Oui vous qui restiez là haut A attendre le cours d’eau
Mais malheureusement pour vous Votre ego était trop énorme Mais tant pis pour vous Moi je continue ma route avec votre fromage dans mes pognes.
|