Dans la gare des trains de ma triste banlieue, Des images d'une femme, d'inoubliables traits Traversent ma pensée, impressionnent mes yeux, Rêve est cette femme dont le charme est secret.
-Mon corps était sur le quai mais mon âme ailleurs : J’étais pris par magie d'un charme indéfini Que mon corps désirait. D'un regard séducteur, Tout s’était évanoui, d'un Bonheur infini.
Je rêvais de son corps, je rêvais de son nom, De ses paroles qui m’étaient un tendre son. Puis, son regard qui fait le rythme de ce rêve
Disparaît. La musique est finie et ses airs Finissent en conclusive et le rêve s’achève, Puis, cette femme part et mon âme se perd.
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