Il est sonorités qui sur un là Chevauchent la douceur de l’air Pour que sonates de Mozart S’envolent vers qui tend l’ouïe
Mon corps dansait dans la nuit Enlacé dans les bras d’un parfum inconnu Où la chambre d’un rêve ambitieux Me dévoilait ses instants de bonheur
Là , Je promenais mes pas vers l’hier De ce monde où châteaux s’élevaient Pieds dans l’eau pour protéger Les remparts d’un seigneur amoureux
Au donjon une femme belle était Elle cherchait son page adoré Qui lui ferait lecture de mots d’amour Ici mon instinct quitta ma raison
Etait-ce, ce visage si radieux Que mes mains dans mes songes Eussent affection à lui tendre Au jour où mon cœur l’eut désirée
C’était un hier d’aujourd’hui Sa chevelue d’or me capturait Moi le troubadour des jours heureux J’allais lui chanter ma folle passion
Ses yeux en ma nuit contaient l’azur D’un ciel où soleil perlait ses ors Pour enrichir mon regard d’amant De mille feux brûlant mon amour
Au nouveau matin j’ai oublié de rêver Dans mes bras elle ne m’avait pas quittée Elle m’enserrait près d’un pont levis Que vous passez, libéré de la solitude ☼ƇƑ
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