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Accueil >> xnews >> México (jeux sans frontières) - Versions originales - Textes
Versions originales : México (jeux sans frontières)
Publié par Loriane le 04-02-2012 10:06:18 ( 1267 lectures ) Articles du même auteur



México (jeux sans frontières)



Es una fila tan larga que avanza
Zapata son étendard, au mat pavane
Van agobiados, sin hablar
Blafards, mais décidés déjà
Así como una triste guirlanda
Dague au poing, se souda la chaine
En la llanura, acercandose lentamente
Terrible péons démonter sans cesse 
Estos sons de la libertad los trabajadores
Restés serviles, leur terre d'or est de peine,
En los campos acostumbrados, van a andar,
Armée fragile qu'escobar éclabousse
Buscan la sombra de los plátanos
Noces de l'homme et des llanos qu'on sépara
Para proteger sus cuerpos cansados,
Docile, mais las de bruler ses os au soleil
El follaje amigo, y caritativo,
Volupté offerte, le caniveau oublia 
A apagado el quemante aire blanco
Coloré de violence et paré du mal
Al amparo de la frondosidad de un árbol
Boldo ami, et Bolivar et hermandad sont,
Sombra bienvenida, a medida del deseo,
Ces hauts auras que l'espoir guida à quai
Que los apacigua, sin duda alguna 
Navajas tueurs d'hacienda, crânes,
Tan sean cansado avanzar y sufrir
Irréductibles, les combat et Ire, féconds
Hombres, mujeres en banda, fugitivos
Vocifèrent, espressivo, s'ouvre la vanne
Van a ir delante, a superarse
Arsenal, feu pour de terre une parcelle 
El infierno debían dejarlo
Lopin de vie contre castillo, jamais alanguis
Guiado por la esperanza, lo fulgor,
Gorges tranchées, foule expatriée du Prado 
Doblados bajo el mordiente sol
Soleil redouté darde le feu en solo
Lo quieren, van a conseguir
Guirlande paysanne, le pire est de renoncer 
Serán su propio salvador,
Dort sur la terre, or qui les appelle
El miedo va a dejarlos
Lœss de la vie, la liberté est le visa
Saben que El coraje es la llave.
Vertu dans les veines, vertige de l'au delà
La llave de la libertad para siempre es la revolución.

Lydia Maleville

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Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

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