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Accueil >> xnews >> Amour interdit - Poèmes - Textes
Poèmes : Amour interdit
Publié par Helena le 21-07-2016 00:20:00 ( 1001 lectures ) Articles du même auteur



Elle était belle comme une humaine
Il était trop beau pour être un humain
Et un jour ils se croisèrent
Elle tomba amoureuse sans savoir qui il etait

Ils s'aimaient vraiment
Mais laur amour était interdit
Elle était de la terre et lui venait d'ailleur
Il ne pouvait rien dire par peur qu'elle le quitte

Un soir...malgré leur différence
Ils allèrent au 7eme ciel
Sacrilège !! Il venait de lui faire l'amour
Il versa une seule larme et se rendit compte de son erreur
Mais c'était trop tard elle était déjà partit. cet amour n'aura plus de vie ni de suite...un amour interdit

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Auteur Commentaire en débat
EXEM
Posté le: 07-04-2015 18:34  Mis à jour: 07-04-2015 18:34
Plume d'Or
Inscrit le: 23-10-2013
De:
Contributions: 1480
 Re: Amour interdit
Les amours interdites sont les plus cruelles.
Helena
Posté le: 07-04-2015 20:09  Mis à jour: 07-04-2015 20:09
Aspirant
Inscrit le: 05-04-2015
De: France
Contributions: 40
 Re: Amour interdit
Le monde est cruel
Mes préférences



Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

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