Je peste et rage Sur tous ses à -coups. Et sans ambages M’en vais médire sur le cou.
Cou, nuque exquise, Qui trop souvent grise. Caresses exquises Je vous méprise.
Douleurs diffuses Je vous accuse Vertiges incessants Je vous hais tant.
Toi, le cou, tu rages D’être mal aimé, Moi j’espère le courage De ne point vaciller.
Je ne veux garder que le cou Je veux oublier la rage Etre emmanché d’un long cou Parfois demande du courage.
Coup si bas Cou fatigué. Coup qui abat Cou rafistolé.
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