| A + A -
Connexion     
 + Créer un compte ?
Rejoignez notre cercle de poetes et d'auteurs anonymes. Lisez ou publiez en ligne
Afficher/Cacher la colonne
Accueil >> xnews >> Défi du 05 mars 2016 ( Heureux celui qui juge..........) - Poèmes confirmés - Textes
Poèmes confirmés : Défi du 05 mars 2016 ( Heureux celui qui juge..........)
Publié par Titi le 07-03-2016 11:11:45 ( 964 lectures ) Articles du même auteur



Voici mes amis, tapé avec mon index gauche et beaucoup de difficulté !!!……., le résultat de mon regard sur ce défi qu’a bien voulu me confier Couscous …………….l’inconsciente !!!!



Il se pensait meilleur, bien meilleur qu’il n’était,
Ses semblables jugeant, sans nulle concession,
Mais sans méchanceté, juste par prétention,
S’estimant au dessus de la majorité.

Ainsi, il émettait des avis péremptoires,
Sur des gens rencontrés, et sans plus de données,
Dispensant son avis, il les étalonnait,
Les mettant dans des cases, verdict aléatoire.

D’un quidam timide, il disait c’est un con,
Car nullement rompu à défendre une idée,
Oubliant trop souvent que c’est lui qui bridait
Celui qui contestait sa notoire opinion.

D’une femme insensible à sa mâle beauté
Il concluait dés lors : quelle absence de gout,
Et de tenter, dés lors, avec force bagout,
De convaincre la belle, de son charme vanté.

Se pensant héritier de la plume d’Hugo,
Il commettait des vers qu’il pensait remarquables
Sans accepter qu’on puisse les penser passables
Il se croyait Victor, mais n’était que nigaud.

Il logeait dans sa rue un pauvre miséreux,
Et son chien de misère, un clochard comme on dit,
A qui, au grand jamais, nul présent ne brandit
Estimant ces ‘’gens là’’ inutiles et oiseux

Mais une nuit sans lune, en la demeure huppée
De l’homme prétentieux, un furieux incendie,
Embrasât la maison, et ses hôtes endormis,
Qui par le feu risquaient, d’être tous emportés.

L’alarme fut donner pat le chien du clochard
Qui, réveillant son maitre en hurlant à la mort,
Permis à celui-ci, curieux retour du sort
De sauver celui qui, le pensait accessoire……


On n’a toujours besoin d’un plus petit que soi,
Et le petit n’est pas toujours celui qu’on croit;
Heureux celui qui peut, un jugement émettre,
Sans se remettre en cause, de Dieu, il est le maitre………..



Article précédent Article suivant Imprimer Transmettre cet article à un(e) ami(e) Générer un PDF à partir de cet article
Les commentaires appartiennent à leurs auteurs. Nous ne sommes pas responsables de leur contenu.
Auteur Commentaire en débat
couscous
Posté le: 08-03-2016 06:50  Mis à jour: 08-03-2016 06:50
Modérateur
Inscrit le: 21-03-2013
De: Belgique
Contributions: 3218
 Re: Défi du 05 mars 2016 ( Heureux celui qui juge..........
Ah là j'applaudis des deux mains car tu ne peux le faire. Tu nous livres une belle leçon de vie.Ne jamais sous-estimer la valeur des autres !

J'adore !

Merci mon Titi pour nous avoir offert ce joli défi.

Soigne-toi bien.

gros bisou qui guérit.

Couscous
Titi
Posté le: 08-03-2016 10:04  Mis à jour: 08-03-2016 10:04
Administrateur
Inscrit le: 30-05-2013
De:
Contributions: 1622
 Re: Défi du 05 mars 2016 ( Heureux celui qui juge..........
Merci Couscous, j’apprécie avec tes applaudissements ton coup de main, et me prêter main forte en l’instant, tend à prouver, si besoin était !!! que tu as le cœur sur la main.

Pour ma part, re-mettre la main à la pate me permettez de vérifier que je n’avais pas un poil dans la main, même si pour le moment je n’ai pas les mains libres.

A bientôt chère Couscous ou plutôt à..... demain !!!!.
Mes préférences



Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

Connexion
Identifiant :

Mot de passe :

Se souvenir de moi



Mot de passe perdu ?

Inscrivez-vous !
Partenaires
Sont en ligne
67 Personne(s) en ligne (16 Personne(s) connectée(s) sur Textes)

Utilisateur(s): 0
Invité(s): 67

Plus ...