En revenant de Nantes, passant par Guérande, Après les digues de sel, sans qu’on me le commande, Je pose mon cul devant ses remparts, sans efforts. C’est que je voulais la voir avant que d’être mort !
Ah la digue, la digue des mots du défi ! Et qui vois-je devant la porte Saint Michel. Cavalier, Kjtiti, de nos écrits les cul bénits. Ils arment leurs arbalètes des vers sans fiel.
Réponse à ce poème d'Isté, (ci dessus).
En pays Guérandais, ayant posé son cul Isté le Bourguignon, entamait le refrain D’une chanson paillarde évoquant Montaigu Et une jeune fille à l’affable arrière train…. En posant son séant au devant des remparts, Il voulait sans nul doute, ses idées, rafraichir Mise en trouble par un heureux, nouveau départ, Le rapprochant ainsi de sa dame à chérir.
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