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Poèmes : Anastapoulos
Publié par Jared le 23-08-2016 00:50:00 ( 829 lectures ) Articles du même auteur



Quand une dame messieurs mais tout à fait exquise
De celles que les illustres marquis de Rostand
Et bien de celles dont ils connaissent, toutes, les noms
Exquises oui et tellement messieurs qu'elles attisent

Cette flamme qui devient bûcher et qui fait les poèmes
Mais les plus beaux, les plus poétiques, les plus exquis
Car super-coquentieuses oui mais voyez si on les aime
Si messieurs nos cœurs en les voyant font de gracieuses vrilles

C'est que messieurs elles sont de libres esprit, roses pensantes
Les plus belles oui et messieurs les plus fines
Et à cela messieurs soustrayez la préciosité car en rien pédantes
Et riantes messieurs toujours, voyez not to grin is a sin

Messieurs quand une dame de ce calibre se retrouve
Dans un embarras, ah mais dû à une boisson de trop
Ou à un jugement de moins, voyez quand elles se retrouvent
Dans un embarras, ah mais dû à une limace ambiteuse de trop

Qui se glisse véritable poix de l'homme et de l'insecte
Laissent une indélébile marque sur une âme ah mais grandiose
Et que sur la parfaite perfection s'étend l'abjection abjecte
Une union messieurs qui n'a rien à voir avec la symbiose

Quand ces gentlemen s'en sortant avec un faramineux brio
Surprenant messieurs oui, cela tient du miracle dit biblique
Quand c'est le cas voyez ils se croient devenu des parleurs beaux
Et que véritables Casanova ils transcendent le prosaïque

Et bien ils s'adonnent alors à une joute qui leur est étrangère
Et essaye de forcer ce qui tient du miracle et de l'exploit
N'ayant ni esprit ni traits symétriques, croyant pouvoir le faire
Arpentant cet ardu voie messieurs de la confiance en soi

Ils se font misérables limaces, rejeter comme des merdes
Et deviennent une histoire embarrassante quoique facétieuse
Qui forge messieurs cette jeunesse que l'on ne veut pas perdre
Et qui glisse nous échappant sur la pente du Temps, précieuse

Je m'étonne tout de même devant l'inexorable ténacité
De ces gentlemen qui aiment, aiment, aiment, oui messieurs aiment
La défaite durant leur conquête, et se relèvent avec facilité
De toutes les chutes, oui cela m'étonne il faut dire que je les envie
Ceux qui rien n'abat et que ce soit désastreux messieurs ou bien pis
Car moi pour tout, pour rien, je fais un poème.

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Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

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