
Anastapoulos
Date 23-08-2016 00:50:00 | Catégorie : Poèmes
| Quand une dame messieurs mais tout à fait exquise De celles que les illustres marquis de Rostand Et bien de celles dont ils connaissent, toutes, les noms Exquises oui et tellement messieurs qu'elles attisent
Cette flamme qui devient bûcher et qui fait les poèmes Mais les plus beaux, les plus poétiques, les plus exquis Car super-coquentieuses oui mais voyez si on les aime Si messieurs nos cœurs en les voyant font de gracieuses vrilles
C'est que messieurs elles sont de libres esprit, roses pensantes Les plus belles oui et messieurs les plus fines Et à cela messieurs soustrayez la préciosité car en rien pédantes Et riantes messieurs toujours, voyez not to grin is a sin
Messieurs quand une dame de ce calibre se retrouve Dans un embarras, ah mais dû à une boisson de trop Ou à un jugement de moins, voyez quand elles se retrouvent Dans un embarras, ah mais dû à une limace ambiteuse de trop
Qui se glisse véritable poix de l'homme et de l'insecte Laissent une indélébile marque sur une âme ah mais grandiose Et que sur la parfaite perfection s'étend l'abjection abjecte Une union messieurs qui n'a rien à voir avec la symbiose
Quand ces gentlemen s'en sortant avec un faramineux brio Surprenant messieurs oui, cela tient du miracle dit biblique Quand c'est le cas voyez ils se croient devenu des parleurs beaux Et que véritables Casanova ils transcendent le prosaïque
Et bien ils s'adonnent alors à une joute qui leur est étrangère Et essaye de forcer ce qui tient du miracle et de l'exploit N'ayant ni esprit ni traits symétriques, croyant pouvoir le faire Arpentant cet ardu voie messieurs de la confiance en soi
Ils se font misérables limaces, rejeter comme des merdes Et deviennent une histoire embarrassante quoique facétieuse Qui forge messieurs cette jeunesse que l'on ne veut pas perdre Et qui glisse nous échappant sur la pente du Temps, précieuse
Je m'étonne tout de même devant l'inexorable ténacité De ces gentlemen qui aiment, aiment, aiment, oui messieurs aiment La défaite durant leur conquête, et se relèvent avec facilité De toutes les chutes, oui cela m'étonne il faut dire que je les envie Ceux qui rien n'abat et que ce soit désastreux messieurs ou bien pis Car moi pour tout, pour rien, je fais un poème.
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