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Accueil >> xnews >> Ne cherchez plus, je suis le quatrième! - Poèmes confirmés - Textes
Poèmes confirmés : Ne cherchez plus, je suis le quatrième!
Publié par Istenozot le 15-01-2017 15:14:34 ( 912 lectures ) Articles du même auteur



Ce poème est ma réponse au défi de l'épiphanie :

http://www.loree-des-reves.com/module ... hp?topic_id=4771&forum=21

Les fèves, je vous le dévoile à mots couverts,
Exigent qu’auprès de vous je devienne disert
Car l’une d’entre elle, un fait divers, m’a offert.

Cette épiphanie-là, la magie s’invita.
Alors que je voulais quitter cette fiesta,
La fève du jour se retrouve dans mes mains
Et elle se met à me parler avec entrain.
Pourquoi n’es-tu pas venu dans le train des rois
Qui allaient en voyage, en un beau convoi,
Pour aller apercevoir un tendre bambin ?
Mais qui que vous soyez, passez votre chemin,
Lui répondis-je, inquiet de ma folie naissante !

Libère ton imagination bouillonnante,
Je suis Balthazar, un roi mage venu d’ailleurs.
Et, dans ce domaine, dit-on, tu es le meilleur.
Peut être ne trouveras-tu pas un enfant ?
Rejoins la quête de nos désirs apaisants.
Accompagne-moi, avec Melchior et Gaspar,
Nous te conduirons loin de tous tes avatars.
De la vie, tu verras les papillons d’argent.
En toi, des émois d’émaux seront émergents.
Tu trouveras en chaque être de la magie.
Louer la beauté deviendra ta liturgie.
Ne te comporte pas comme un fier Artaban,
Viens à nous. Ne nous vois pas comme des forbans !
L’enfant que tu dois découvrir se trouve en toi,
Invite-le dans tes voyages sous ton toit.

Je vois ! Je dois m’en aller ici et ailleurs
Heureux, tant dans les bonheurs que dans les malheurs,
Pour y trouver de la magie avec entrain.

La fève se tut et disparut dans ma main.

Jacques Hosotte

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Les commentaires appartiennent à leurs auteurs. Nous ne sommes pas responsables de leur contenu.
Auteur Commentaire en débat
Titi
Posté le: 18-01-2017 13:38  Mis à jour: 18-01-2017 14:29
Administrateur
Inscrit le: 30-05-2013
De:
Contributions: 1622
 Re: Ne cherchez plus, je suis le quatrième!
Isté reprends toi vite, bois un verre de Vouvray,
Ne laisse point ces mages, ainsi te manœuvrer,
Ignore cette fève immensément tordue,
Qui surgit en avance, une chose incongrue
Quand on sait qu’une fève immensément vrillée,
Se montre après Janvier au mois de fève vrillée.

Si tu crois Balthazar, Gaspard et ses consorts
Venus d’une contrée que l’on situe ailleurs,
Qui promettent des monts et des merveilles rares
De l’argent et de l’or ou marbres de Carrare,
Surtout ne soit dupe, on a chez nous les mêmes
Promettant de raser, gratis, promesse vaines !!!

Ils nous viennent, eux aussi, de partout et d’ailleurs
Gauche, centre ou la droite sans aucune pudeur,
Leurs parcours est sinueux, seul le résultat compte,
La fève ??? il……… nous là mette, et sans aucune honte,
Car quand ils sont élus, oh magie !! oh mirage !!!
Les promesses édifiantes ne sont plus que nuages….

L’excuse est que ces hommes ou femmes qu’on élit,
Souffrent de ce syndrome appelé amnésie,
Sachant que chacun d’eux ne croit pas ce qu’il nous dit
Pourquoi les électeurs on gobe leurs conneries ???.

Aussi je les conjure: ‘’Ecoutez donc nos voix
Avant de les compter, ce serait moins sournois………..
Mes préférences



Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

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