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Accueil >> xnews >> Les voies de la réforme - Poèmes confirmés - Textes
Poèmes confirmés : Les voies de la réforme
Publié par modepoete le 15-08-2017 16:25:40 ( 640 lectures ) Articles du même auteur




Sur un chemin étroit parcourant la préoccupante réforme
Glisse sur des nuages gris la foule ; Hostile fronde
Contre cette pluie de grêlons, chiffrée qui s’abat en ronde
Elle dévaste ces lits d’épargne sans souci de leur méforme

Maladie si tu me prends que pourrai-je t’empêcher
De me vaincre mais je t’en prie ne me vole pas
Déjà la vie ordinaire est pour nous un grand tracas
Devrai-je me sentir coupable, me laisser crever pour t’éviter

Dans leur délire de la compétitivité les magnats
Auraient plaisir à vous voir licencier pour leur santé
Entasser encore plus de dividendes pour vous presser
Ils sont lasses de vous voir gémir au bonheur, vous les parias

Un jour de votre temps demain vous compterez soucieux
Ce petit pécule économisé avec l’effort de la sueur ruineuse
De votre santé ; Vous permettra t’elle de vivre sage et heureux
Ces jours vous tirant en fin de vie sans souci du pernicieux

Nos enfants bien sages, faciles à éduquer ne rencontrent pas
Dans leur éducation de difficultés particulières en somme
Ils suivent avec normalité le programme proposé des tomes
Chacun n’a pas la même performance, le même attrait, à chacun son pas

Il est des métiers où le travail permanent est difficile à conserver
On ne doit pas pour cela les considérer comme de vils pestiférés
On doit leur permettre de combler ce manque qu’ils n’ont espéré
Pour cela les indemniser où leur procurer un emploi assuré

Les cris frondeurs s’élèvent sur toutes les pensées opprimées
Quand elles entendent du pouvoir : -Taisez vous, pourquoi revendiquer
Nous sommes élus, nous gouvernerons ; il a raison, nous savons plier
Politique n’oublie pas, la démocratie appartient au peuple, c’en est assez….

Il est un domaine dont vous ne tenez aucun compte
Avez-vous fait les statistiques de ces nombreux bénévoles
Du monde associatif qui tentent d’assurer au vol
Ce travail moral, souvent en grattant sur leur part d’économie

Je voudrai que cela soit une bonne réforme
Faire de l’association une entité à part entière
Lui donner tous les moyens de ne pas être ratière
Politique avez-vous compté ces économies d’état

Que les charges sociales et fiscales soient proportionnelles
Aux richesses accumulées par le travail et le non travail
Moins d’impôts, moins de charges sociales, ce nouvel attirail
Taxe de la consommation répartie entre nécessaire et luxe référentiel.


Ô vous, éditeurs de lois en politique
Le libéralisme sera-t-il la faille
De la faillite du monde prospère
Evitez-nous de subir le sévère
D’une déchéance qui nous guette
Sachez que vous serez en hypocrites
Les responsables à devoir vous sacrifier
Quand notre demain se voilera
D’incertitudes, de désagréments, de rixes
Comme en seront nos futures générations
Evitez-nous tous ces malheurs en devenir
CÆ’

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Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

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