| A + A -
Connexion     
 + Créer un compte ?
Rejoignez notre cercle de poetes et d'auteurs anonymes. Lisez ou publiez en ligne
Accueil >> xnews >> Avide de voyages - Poèmes confirmés - Textes
Poèmes confirmés : Avide de voyages
Publié par modepoete le 15-09-2017 23:18:25 ( 622 lectures ) Articles du même auteur



Cliquez pour afficher l
[img =300]https://i11.servimg.com/u/f11/17/77/98/61/2017-036.jpg[/img]



Avide de voyages ; je me suis transporté
Sur le coquet nuage, pur des félicités
Il m’a mené, en tout lieu des nécessités
M’aguerrir illuminé, de ma terre des beautés

Nous avons traversé, ces bleus viatiques
Je me suis acheté, une conduite empirique
Afin de rester au faîte, de mon charismatique
Vœux d’aimer, ces humains emblématiques

Ô ma déesse ! Que tu es belle d’admiration
Robe aux reflets d’argent, fines tentations
De voguer sur les plis, de la méditation
Te penser terre de sagesse, de ma sublimation

Corsage verdoyant, pensée pastiche floral
Reconquête salutaire, embase de mon moral
Tu te garnis de pensées bleues, au ton génial
Et je souris à la douceur, de mon pur régal

Je caresse ta chevelure, de ma main d’audace
Cordelée, tressée elle chaloupe tes fines faces
L’univers t’a engendrée, unique reine de ta race
Tu voles au vent de l’éternité, sans laisser de trace

Je survole tes yeux, ces Everest brillants, trop purs
Engoncé dans les vallées, ruisselante de ses mûres
Ces pensées de faire corps, avec l’azur pour une cure
Où tu invites l’humain, à la sagesse que tu lui sussurre

Tes cols mouchetés, de saines dentelles serties
Sur ta volonté de donner, aux contrées de tes pays
Toutes les bontés que ta nature clémente a embellies
Pour la survie de ces humains, intolérants pour ta vie

Belles rivières de cristal, au contenu servile et vivace
Tes cours sont ballonnés, sauvagerie humaine néfaste
Et tu pleures tendre ta peur, horrifiée de leur phantasme
De dénouer tes beaux rubans, accréditant leurs vils sarcasmes

Que ce monde est beau vu d’en haut, laisse moi y périr innocent
Beau nuage de la tranquillité, je reste sur ton dos rassurant
Écoute ces bruits, ils tonnent les blessures des inconscients
Ma terre tu saignes toutes les douleurs faites par l’humainsdément

Pauvre nuage! Toi qui n’eut àpenser qu’un seul petit trou
Aller te projeter vers l’éternel du néant sans frou-frou
Tu m’as serré très fort, contre l’ourlet paisible de ta proue
-je ne voulais te mener là, mais sache bien serrer tous les écrous

Je me suis perdu, dans l’immensité de l’infini pays éternel
Cherchant un Dieu à qui me confesser, de cette crainte nouvelle
Devoir vivre poussière de la solitude, sans un brin de surnaturel
Seul au loin du bruissement des abysses du néant sempiternel

Ô ma terre! J’aurais aimé te vivre accroché à tes fastes
Que ne suis-je devenu, dans cet enfer du néant chaste
Ma répulsion de la solitude est trop vive, dans ces miasmes
Reprend-moi! Tu ne seras, que mon désir vouant ta caste.
CÆ’

Article précédent Article suivant Imprimer Transmettre cet article à un(e) ami(e) Générer un PDF à partir de cet article
Les commentaires appartiennent à leurs auteurs. Nous ne sommes pas responsables de leur contenu.
Auteur Commentaire en débat
Mes préférences



Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

Connexion
Identifiant :

Mot de passe :

Se souvenir de moi



Mot de passe perdu ?

Inscrivez-vous !
Partenaires
Sont en ligne
78 Personne(s) en ligne (22 Personne(s) connectée(s) sur Textes)

Utilisateur(s): 0
Invité(s): 78

Plus ...