
Soulagé de mes maux
Les sables mouvants m’absorbaient
Au fond d’une vase d’amertume
Seul j’étouffais de tant d’illusions
Que mon corps plein de compassion
Tentait d’éradiquer en plénitudes
Sur mon esprit proche de la mortalité
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Le vent serein dilignta une pensée
De L’éblouissant charme transportant
En son être le don du grand privilège
Celui de vous tendre un florilège
Qui caresse votre nature perdue jouxtant
Les décombres de votre railleuse volonté
¤
La lumière de l’inefable affection
Souleva mon âme au dessus du marigot
Afin de s’entretenir à l’amitié universelle
Et me veiller bienveillante en sentinelle
Apportant tous ses bienfaits nouveaux
À l’élévation de mon âme aux hauts des donations
Soulagé de tous mes maux insoumis
Accroché à ma neuve fréquentation
J’ai légué assidu toutes mes largesses
A cette âme profonde en délicatesse
Soucieuse d’entretenir d’abnégation
Notre relation de pensées recueillies
Je traverse joyeux toutes les routes
Protéger par une secrète intimité
Qui s’émerveille des larges gratifications
Offert altruiste par mon esprit d’admiration
A cette autre pensée pressée de me restituer
Les affections que je lègue à son écoute.
Æ’C